rythmes et cycles humains

d'après ma découverte - issue de nombreuses années d'observations - notre vie fonctionne, tout au long, au moyen de pulsations régulières qui accompagnent chacun d'entre nous. ces pulsations ont tendance à influencer nos comportements par divers mécanismes, notamment un effet périodique de pulsions et de désinhibition pour ce qui est de l'aspect psychique, et une incidence sur l'énergie de notre organisme, pour ce qui est de l'aspect physique.


voici un essai de décrire ces rythmes et cycles, ainsi que leurs conséquences...
(dans cet ensemble de textes, l'éventuelle répétition des règles est voulue car elle permet de lire chaque sujet, ou d'aller d'un sujet à un autre, sans forcément avoir à lire et assimiler l'ensemble depuis le début)

les rythmes et cycles dont je parle sont un mécanisme endogène, c'est à dire qui se produit à l'intérieur de notre organisme, sans l'influence ou l'apport de quelque chose d'extérieur... le fonctionnement est probablement hormonal et a la curieuse mais efficace particularité d'être lié à une horloge interne individuelle très précise... notre vie durant.
(ceci étant souligné parce que l'on compare parfois ma théorie à l'astrologie ou la numérologie).

quels sont ces rythmes et cycles ?

un certain nombre de rythmes et cycles existent et fonctionnent chez tous les humains. ils ont tendance à influencer notre psychisme et notre forme physique aussi, et de ce fait nos comportements tout au long de notre vie. cela se passe généralement à notre insu, puisque nous ne les connaissons pas.. (pour le moment)...

il s'agit des rythmes et cycles suivants (je les appelle rythmes ou cycles selon leur durée, rythmes généralement pour les rythmes courts) :

un rythme psychique et émotionnel hebdomadaire d'une durée de 28 jours (rythme court à pulsation chaque septième jour de la vie)
- un cycle psychique et émotionnel septennal d'une durée de 28 années (cycle long à pulsation chaque septième année)
- un rythme de l'énergie physique et psychique de 23 jours (rythme court à pulsation chaque sixième jour)
- un cycle de l'énergie physique et psychique de 23 années (cycle long à pulsation chaque sixième année)
- un rythme intellectuel (rythme du cerveau) de 33 jours (rythme court à pulsation chaque huitième jour)
- un cycle intellectuel de 33 années (cycle long à pulsation chaque huitième année)

les cycles longs sont des cycles qui pulsent à un rythme long, (chaque sixième, septième et huitième année de vie, à partir de la naissance)
alors que les rythmes courts sont des pulsations à un rythme court (chaque sixième, septième et huitième jour de notre vie, comptés à partir du jour de notre naissance).
on remarquera que ces rythmes et cycles fonctionnent en gigogne : sept jours et sept ans pour le cycle psychique et émotionnel, six jours et six ans pour le cycle physique, et huit jours et huit ans pour le cycle intellectuel.

ces rythmes et cycles accompagnent tout humain depuis le jour de sa naissance, leur point de départ, jusqu'à la mort.
depuis le jour de la naissance, parce que probablement ils marquent le point de départ de notre vie aérienne autonome.
je pense qu'il s'agit de "pulsations du vivant"...

les rythmes courts, physique et psychique (émotionnel) ont été découverts aux alentours de 1900, déjà, en même temps par le médecin allemand Wilhelm Fliess et un autre médecin, autrichien, Herrman Swoboda. le cycle intellectuel a été découvert plus tard par Alfred Teltscher, un professeur autrichien en génie mécanique.
ces rythmes courts sont les fameux "biorythmes", rythmes de 23, 28 et 33 jours : leur interprétation comporte cependant, selon mes observations, une erreur qui a conduit à leur désintérêt, alors qu'ils avaient la cote dans les années 70. j'y reviens ci-après.

j'ai trouvé, par ailleurs, qu'il existe l'équivalent en cycles longs... et qu'il semble donc s'agir d'un mécanisme qui fonctionne en gigogne... (jours étant alors remplacé par années).

un autre rythme inattendu est un rythme semestriel : celui de nos anniversaires et à six mois de là...: certaines personnes ont des problèmes à ces moments-là : elles deviennent plus déprimées, voire agressives.

les "biorythmes"

ce sont trois rythmes courts : un rythme physique de 23 jours, émotionnel de 28 jours et intellectuel de 33 jours.
les rythmes physique et psychique (émotionnel) ont été découverts aux alentours de 1900, déjà, en même temps par le médecin allemand Wilhelm Fliess et un autre médecin, autrichien, Herrman Swoboda. le rythme intellectuel a été découvert plus tard par Alfred Teltscher, un professeur autrichien en génie mécanique.

dans la façon traditionnelle de voir ces rythmes, ceux-ci se composent chacun de deux épisodes : une première moitié étant une phase active (matérialisée sur un graphique par le haut des courbes) et une seconde moitié étant une phase passive (matérialisée par la position basse des courbes). la phase active est fréquemment interprétée comme signifiant une "bonne forme" (courbes et forme "haute"), plus dynamique, alors que la phase passive est interprétée comme étant plutôt une phase de "récupération" (courbes et forme "basse").

voici par exemple un graphique pour une naissance le 1er octobre 2013, les trois cycles démarrant à ce moment-là :



dans l'interprétation traditionnelle, les jours critiques sont le premier jour d'un rythme (chaque fois que celui-ci redémarre, c'est à dire le jour où la courbe part vers le haut depuis la ligne horizontale médiane : ici les trois rythmes démarrent le 1/10), puis redémarrent le 24 pour le rythme physique et le 29 pour le rythme émotionnel...

est critique aussi le jour du milieu du rythme (lorsque la courbe coupe la ligne horizontale médiane : ici le 12 pour le rythme physique, le 15 pour le rythme émotionnel et le 17 pour le rythme intellectuel),

et enfin est critique le jour figurant au plus bas des courbes, c'est à dire ici le 18 pour le rythme physique, le 22 pour le rythme émotionnel et le 26 pour le rythme intellectuel)


or mon interprétation n'est pas la même, et d'après mes observations les rythmes sont simplement des pulsations régulières, induisant un jour critique chaque sixième jour pour le rythme physique, chaque septième jour pour le rythme émotionnel et chaque huitième jour pour le rythme intellectuel.
cela signifie notamment que le jour du haut des courbes (ici les jours 7-8-9) - traditionnellement considéré comme un "bon" jour, est également un "jour critique"...

cela simplifie en quelque sorte l'interprétation, mais en outre - et là c'est d'importance car nous avons alors quatre épisodes critiques par rythme au lieu de trois seulement : de quoi modifier totalement des statistiques qui auraient été faites... 
ceci à mon avis pourrait avoir conduit à un désintérêt progressif des biorythmes (alors qu'ils avaient la cote dans les années 70), les résultats n'étant pas suffisamment probants...
(je parle "d'épisode critique", la criticité pouvant apparemment s'étaler ou plutôt concerner un ou deux jours : d'après mes observations les jours critiques démarrent par exemple déjà la veille...).


autres formes d'affichage : 

le logiciel http://biorythm.online.fr/w/   permet, outre l'affichage habituel par courbes, d'afficher également sous forme de calendrier, en affichant tous les jours (numérotés de 1 à 23, resp. 28 et 33 selon les rythmes)



ou simplement les principaux jours critiques (je me sers essentiellement et le plus souvent de cette version)


je retiens alors comme étant des jours critiques (en plus grand les jours plus "forts" car ils ne sont pas tous d'incidence égale)

P1 - P6/P7 - P12 - P17/P18/P19 pour le rythme physique de 23 jours
(seul P18 est marqué mais il faut considérer le jour avant et après - idem pour P6/P7)

E1 - E8 - E15 - E22 pour le rythme émotionnel de 28 jours (la semaine étant de 7 jours le jour critique émotionnel est toujours, notre vie durant et du fait d'une règle mathématique, le jour de la semaine où nous sommes nés - c'est un moyen simple de vérifier l'exactitude d'un graphique biorythmique car j'en ai trouvé qui sont faux...)
i1 - i9 - i17 - i26 pour le rythme intellectuel de 33 jours.

(jour critique ne signifie pas "mauvais jour" mais plutôt jour où il convient d'observer nos états et nos réactions avec attention et prudence : c'est une sorte de "jour charnière", souvent un peu ou beaucoup différent de nos jours habituels ; par ailleurs l'observation des rythmes biorythmiques permet de distinguer ces jours critiques, les autres jours étant des "jours normaux" ou neutres en quelque sorte... ils ne distinguent donc pas de "bons jours" ni d'ailleurs de "moyenne"... mais uniquement les jours qui peuvent être d'une certaine criticité pour chacun des cycles.)



ère biorythmique : les trois rythmes biorythmiques démarrent en même temps par leur jour 1 le jour de la naissance. comme ils sont de durée différente ils vont se mélanger ensuite. ils arrivent cependant à un moment de la vie (58 ans et 67 jours) à un redémarrage collectif, lorsque tous seront à nouveau ensemble à leur premier jour (P1-E1-i1) au bout de 23x28x33 jours. c'est cette durée de vie qui est parfois appelée une ère biorythmique. je n'ai cependant trouvé aucune particularité à ce jour de "seconde naissance", si ce n'est l'éventuelle criticité d'un jour triplement critique...


à ces trois rythmes courts des biorythmes il convient donc d'ajouter les trois cycles longs, respectivement physique de 23 années, psychique et émotionnel de 28 années et intellectuel de 33 années...
tous ces cycles fonctionnant ensemble, en gigogne, chacun à leur rythme de pulsations...

intérêt

l'observation des rythmes et cycles humains permet d'analyser certains comportements ou événements passés, de comprendre le présent et de PREVENIR ET GERER CEUX, EVENTUELS, DU FUTUR.

- cycle psychique et émotionnel septennal : nous entrons dans un "état particulier" lors de chaque "période critique septennale"...
environ l'anniversaire précédant un anniversaire septennal nous "changeons d'état" et entrons dans une période qui peut prendre différents aspects : il peut ne pas se passer grand chose voire rien du tout, mais il peut survenir des situations graves comme de sérieuses dépressions, des épisodes à risques de passage aux actes très divers en raison de pulsions qui vont nous pousser à agir, alors que s'atténuent, voire disparaissent parfois, nos inhibitions : sur des sujets qui nous préoccupent autrement de façon latente, nous allons avoir le courage et l'énergie pour agir, bouger, démarrer, de façon consciente ou subconsciente, des actes qui nous peuvent nous être profitables mais aussi nuisibles... (séparations, suicides, drames divers, et même certaines maladies, ont très souvent un lien avec nos jours et périodes critiques, etc...)

- jour critique émotionnel : un jour de "pulsions" et de tensions chaque septième jour de notre vie. il est important puisque hebdomadaire...
jour de pulsions psychiques et émotionnelles : c'est notre jour à risque de blues, déprime voire dépression fulgurante ou de colère. jour de passage à l'acte des suicidaires, criminels, jour des conflits conjugaux et autres...

- jour critique physique : un jour de "pulsions" ou de "débrayage" physiques, chaque sixième jour de notre vie...
c'est un jour de "contrôle technique" de notre organisme : notre mauvais état de santé a tendance à se manifester de préférence ce jour là, mais c'est aussi un jour de pulsions pouvant entraîner certains passages aux actes ou défaillances... curieusement l'épisode critique physique P17/P18/P19 peut avoir un effet équivalent à un jour critique émotionnel comme ci-dessus)

- cycle physique sextennal : il est l'équivalent du cycle physique de 23 jours des biorythmes. rapporté aux années. il peut induire des "années de fatigue physique" lors de nos "années critiques physiques" mais aussi un risque de perturbations psychiques conduisant exceptionnellement à des passages à l'acte violents.

- jour critique intellectuel : chaque huitième jour de notre vie est un "jour critique du cerveau" et peut parfois induire des perturbations de la pensée voire du comportement.

- cycle intellectuel octonal : chaque huitième année de notre vie, mais d'après mes observations surtout l'année de vie 34 (autour de nos 33 ans) - qui est l'année d'un redémarrage de ce cycle, peut parfois donner lieu à des perturbations dans nos réflexions et comportements.


ces cycles ETANT CONNUS A L'AVANCE, leur observation va pouvoir aider à gérer notre forme et nos émotions, et parfois, à éviter des drames :

en sachant par exemple à l'avance
- que l'on peut gravement déprimer à l'arrivée d'une période critique septennale 
- que la majorité des difficultés conjugales graves surgissent à ce moment là (séparations se soldant parfois par un drame)
- en sachant à l'avance que notre jour critique émotionnel (hebdomadaire) est notre jour "à risque de dérapage"... ou de gros coups de blues... (il est le "jour des suicides")...

- en sachant à l'avance que c'est un multiple de sixième jour que nous pouvons être physiquement mal en point...
- en sachant à l'avance que des épisodes de blues et dépression peuvent nous arriver autour de notre anniversaire ou à six mois de là, donc à l'opposé...
- en sachant qu'une longue période d'épuisement peut avoir un lien avec une année critique physique.

face à un problème sérieux, pensons à vérifier si nous ne sommes pas en situation "à risque"- en observant la position de nos cycles longs et courts.
cela peut parfois expliquer - au moins en partie - la survenance du problème, mais cela peut aussi aider à le gérer voire le maîtriser.

repérez à l'avance, préventivement, vos périodes et jours critiques et ceux de votre entourage : cela permet de s'observer et mieux se connaître... mais aussi de comprendre, parfois d'aider, et ne pas être pris au dépourvu en cas de réaction éventuelle...

dans la majorité des cas, cependant, les situations critiques sont gérées sans trop d'accrocs, mais c'est en cas de doute ou de problème qu'il faut penser à vérifier une situation cyclique. celle-ci pourra éventuellement expliquer un état particulier et aider à le comprendre...

CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL

La particularité de ce cycle est qu'il comporte ce que j'ai appelé des "périodes critiques septennales" se situant autour de nos années de vie septennales, c'est à dire nos âges de la table de sept.
Les périodes critiques septennales les plus connues sont celle de l'adolescence (14 ans) et celle de l'entrée dans l'âge adulte (21 ans). celle de l'époque de la ménopause joue également un rôle particulier, autour des 49 ans de la femme.
Ce type de période existe cependant pour tous nos âges septennaux, c'est à dire tous nos âges de la table de sept. (7 ans, 14 ans, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77, 84, 91, 98 ans). ces périodes sont simplement moins évidentes physiquement que celles citées précédemment, mais elles ont toutes leur importance et incidence sur notre psychisme.

Ces périodes critiques démarrent environ six mois avant l'anniversaire septennal (parfois déjà après l'anniversaire précédent) et voici donc le calendrier des périodes critiques septennales liées à notre cycle psychique et émotionnel septennal :

- de 6 ans à 8 ans (1ère période, celle des 7 ans)
- de 13 ans à 15 ans (2ème période, celle des 14 ans)
- de 20 ans à 22 ans (3ème période, celle des 21 ans)
- de 27 ans à 29 ans (4ème période, celle des 28 ans)
- de 34 ans à 36 ans (5ème période, celle des 35 ans)
- de 41 ans à 43 ans (6ème période, celle des 42 ans)
- de 48 ans à 50 ans (7ème période, celle des 49 ans)
- de 55 ans à 57 ans (8ème période, celle des 56 ans)
- de 62 ans à 64 ans (9ème période, celle des 63 ans)
- de 69 ans à 71 ans (10ème période, celle des 70 ans)
- de 76 ans à 78 ans (11ème période, celle des 77 ans)
- de 83 ans à 85 ans (12ème période, celle des 84 ans)
- de 90 ans à 92 ans (13ème période, celle des 91 ans)
- de 97 ans à 99 ans (14ème période, celle des 98 ans)


les périodes critiques septennales sont des périodes de changements lors desquelles nous faisons une sorte de "saut évolutif" dans notre vie. certaines sont de véritables épisodes de métamorphose (celle de l'adolescence est la plus remarquable, par exemple) mais d'autres sont un peu plus discrètes. toutes ont cependant leur importance et un rôle différent selon la période dont il s'agit. les particularités de chacune restent à étudier.

ce sont des périodes qui vont nous faire bouger, remettre en cause, réviser notre situation, parfois nous bousculer, et cela va donner lieu à des manifestations extrêmement diverses selon les individus et les situations : elles peuvent en effet revêtir des formes et des effets très individualisés, voire elles peuvent quasiment "ne pas se faire remarquer", aussi...

mais c'est lors de ces périodes que peuvent surgir par exemple des problèmes dans un couple en raison des perturbations psychiques et du changement de personnalité qu'elles peuvent opérer : de nombreux conflits débouchant sur des séparations, et même des drames, sont liés à l'arrivée d'une période critique septennale d'une personne (on la retrouve très souvent lors d'une séparation, d'un drame familial ou conjugal, d'un infanticide, etc...)

ce sont des périodes de grands changements et de nouvelles entreprises (travail, région, partenaires, etc...) car nous sommes à la fois bousculés, et désinhibés, (il se produit un effet momentané de pulsions/désinhibition simultanément) c'est à dire que nous aurons moins peur d'opérer un changement, nous serons plus entreprenants, voire parfois plus inconscients... pour cela les périodes critiques septennales sont, par définition, des périodes de prise de risques... c'est notamment cet effet de pulsion/désinhibition qui explique les drames de toutes sortes qui peuvent arriver lors des périodes critiques septennales, (y compris des comportements criminels, la période critique septennale étant alors notre "période Hyde").

l'une des manifestations les plus courantes est la dépression septennale : c'est une grave dépression - parce que particulièrement profonde et tenace - qui peut surgir à ce moment là, et parfois conduire certaines personnes jusqu'au suicide.

j'ai remarqué aussi que l'irruption d'un certain nombre de maladies coïncide souvent avec l'arrivée d'une période critique septennale et je suis persuadé qu'il y a un lien.

RYTHME EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE

ce rythme est aussi un rythme psychique et émotionnel fonctionnant au moyen de pulsations, chaque septième jour. il induit un "jour critique émotionnel" chaque septième jour de notre vie à partir de notre jour de naissance. cela a pour résultat mathématique que ce jour critique émotionnel est et reste notre vie durant, toujours le même jour que celui de la naissance. par exemple né un lundi notre jour critique émotionnel sera définitivement le lundi, multiple de sept oblige.

le jour critique émotionnel est l'équivalent en modèle réduit de la période critique septennale décrite précédemment : c'est notre jour de réflexion et de remise en cause, et ce de fait de possible blues, déprime voire dépression (parfois foudroyante), jour de possible mauvaise humeur et colère. aussi jour de pulsion/désinhibition et nous retrouverons souvent le jour critique émotionnel lors de nombreux comportements "à risques", voire criminels : altercations, drames conjugaux et familiaux, passages à l'acte suicidaires et criminels. c'est, dans les situations extrêmes, notre "jour d'explosion". c'est notre "jour Hyde". le jour critique émotionnel est important car hebdomadaire...

période critique septennale, épisode critique semestriel et jour critique émotionnel sont des "éléments déclencheurs" ou "éléments moteurs" ou du moins "faciliteurs", souvent présents lors de passages à l'acte très divers. ils ont d'ailleurs beaucoup de ressemblances et ils s'amplifient mutuellement lorsque par exemple le jour critique émotionnel se trouve situé dans la période critique septennale ou l'épisode critique semestriel.

le jour critique émotionnel fonctionne un peu à la manière d'un brouillard ou d'un nuage dans lequel nous entrons et passons : il peut être insignifiant mais peut aussi revêtir la forme d'un nuage plus épais, voire d'un nuage noir lorsque nous sommes "mals".
le jour critique émotionnel est par ailleurs un peu "flexible" : il a tendance à démarrer déjà la veille et peut parfois durer le jour-même (surtout) et même le lendemain... il peut aussi s'arrêter rapidement après son démarrage...
c'est selon notre état d'humeur et psychique, selon notre forme, mais aussi selon les événements qui nous surviennent... cet état peut être de tristesse, de mélancolie mais aussi de mauvaise humeur voire de colère il explique de nombreux drames qui ont tendance à arriver à cause de cela, le jour critique émotionnel ou le jour à côté ou un équivalent. (nous avons tendance à être désinhibés à ce moment-là, çàd que notre raison n'aura pas les mêmes limites voire sera mise au placard...)
(voir "effets" http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/effets.html )



jours critiques émotionnels : E1 - E8 - E15 - E22 indiqués ici http://biorythm.online.fr/w/
(c'est toujours le même jour de la semaine, celui où nous sommes nés) 

le jour le plus fort est E1, premier jour du rythme. les autres jours semblent être d'importance équivalente entre eux.
ce rythme et ses jours critiques sont importants, probablement les plus importants car régissant nos émotions, donc aussi nos "possibles dérapages et explosions" ou "disjonctions"... (c'est le jour des disputes)... et ils sont hebdomadaires...

s'agissant d'un rythme de 28 jours, le jour critique émotionnel nous arrive chaque semaine (toujours le jour de la semaine où nous sommes nés) et une semaine sur quatre ce sera E1 jour en général plus "ressenti" que les trois autres.

ce sont eux que l'on trouve fréquemment lors d'un passage à l'acte dramatique par exemple, car ce sont des jours "pulsions" ou "pulsions/désinhibition". 
ce sont ces jours là, bien plus que les autres jours, où "la goutte peut faire déborder le vase", ce qui explique leur présence fréquente lors d'un drame.

important encore : d'après mes observations il existe un équivalent du jour critique émotionnel (mêmes effets) dans le rythme physique de 23 jours, qui est l'épisode critique physique - une sorte de "gros down" que sont les jours critiques physiques P17/P18/P19  (à déterminer ici http://biorythm.online.fr/w/)
et il faudra donc en tenir compte car il vient s'ajouter aux quatre jours critiques cités plus haut.
(voir ci-après)

RYTHME PHYSIQUE ET EMOTIONNEL de six jours

ce rythme fonctionne de la même manière que le rythme précédent, induisant un jour critique physique chaque sixième jour de notre vie.

le jour critique physique est un jour de "débrayage" de l'énergie physique de notre organisme : il est de ce fait jour de fatigue et d'accidents de tous ordres, pouvant avoir un lien avec la défaillance humaine
(c'est le "jour des erreurs humaines"),
mais aussi accidents sportifs et médicaux. (jour des bébés secoués parce que bébé peut beaucoup pleurer ce jour là, aussi, exceptionnellement, jour de la mort subite du nourrisson en raison probablement de cet effet "débrayage de l'énergie physique de l'organisme", il est enfin fréquemment le jour du décès "naturel" de l'humain, pour ces mêmes raisons).

il peut à certains moments revêtir la forme d'un jour critique émotionnel et conduire à des coups de blues. (P17/P18/P19 en particulier)


jours critiques physiques : 

 les jours critiques physiques sont, dans leur ordre d'apparition : P1 - P6/P7 - P12 - P17/P18/P19
(voir un graphique sur le calendrier ici http://biorythm.online.fr/w/ )
et par ordre d'importance :  P17/P18/P19 - P1 - P12 = P6/P7
P1 : c'est le premier jour du rythme qui revient après chaque 23ème jour.
P17/P18/P19 : ils semblent fonctionner ensemble ou séparément (peut être critique l'un ou l'autre ou plusieurs) ; ils sont importants car il s'agit du "down" de la phase passive d'un rythme (sa seconde moitié). il peuvent être l'équivalent d'un jour critique émotionnel, c'est à dire être à l'origine de sévère coups de blues.
P12 : jour de la moitié du rythme (11 jours et demi : donc possible effet dès la veille l'après-midi)
P6/P7 : apparemment fonctionnement par paire ou l'un ou l'autre. il s'agit de la phase active du rythme (haut de la courbe des biorythmes si on est adepte de cette présentation : attention ils sont critiques alors que la théorie traditionnelle des biorythmes les considère comme de "bons jours"...

(il y a une petite irrégularité - qui reste à résoudre - ce rythme n'étant pas divisible, car pas paire (23 jours), d'où la prise en compte parfois de deux jours contigus)
les jours critiques physiques sont également des jours "pulsions/désinhibition" - comme les précédents) surtout remarqués pour P1 et P17/P18/P19.
les quatre épisodes critiques physiques sont par ailleurs des jours/épisodes de "down" de notre énergie physique.
(pour des raisons pratiques les jours critiques physiques P6 et P17/P19 (fonctionnant avec P7 et P18) - ne sont pas mentionnés - pour l'instant - sur le graphique http://biorythm.online.fr/w/
mais il faut les prendre en compte)

CYCLE PHYSIQUE SEXTENNAL

le cycle physique sextennal est l'équivalent du rythme physique de 23 jours des biorythmes : il est simplement transposé sur nos années de vie et il s'agit par conséquent d'un cycle de 23 ans. (il redémarre par une année 1 (P1) après le 23ème anniversaire).

période critique sextennale : c'est la période critique du cycle physique sextennal. elle est en général d'une année et semble pouvoir induire de très longues périodes (jusqu'à une année entière) de grand fatigue, voire épuisement.

nos années de vie critique physiques sont les suivantes : 6/7 - 12 - 18/19 - 24 - 29/30 - 35 - 41/42 - 47 - 52/53 - 58 - 64/65 - 70 - 75/76 - 81

attention ce sont les ANNEES DE VIE que je cite et non les âges : par exemple l'année de vie 24 démarre après le 23ème anniversaire. l'année de vie 58 démarre après le 57ème anniversaire.

en tous cas, fatigue importante ou épuisement de longue durée que l'on arrive pas à expliquer, vérifiez à tout hasard si vous n'êtes pas dans une "année critique physique" ou à l'entrée dans une telle année... songez aussi qu'une méforme physique peut "taper sur le moral" et inversement...

j'ai par ailleurs constaté que certaines "années pulsions" sont particulièrement présentes lors de passages à l'acte dramatiques ou criminels divers : ce sont les premières année du cycle (années P1) c'est à dire les années critiques 24 après et autour du 23ème anniversaire, et 47 après et autour du 46ème anniversaire. (âges de 23/24 ans et âges de 46/47 ans)

rythme intellectuel

- rythme intellectuel de 8/33 jours : 
les jours critiques intellectuels
i1 - i9 - i17 - i26
le jour le plus fort est i1, le premier jour du rythme.
entretemps j'y rajoute le jour critique intellectuel i9, car fréquemment trouvé lors de passages à l'acte de certains types de tueurs... au point que je l'appelle désormais le "jour des tueurs"...
(jours pulsions et parfois de perturbations psychiques et sinon le cycle intellectuel est un cycle du cerveau et de la pensée). jour de désinhibition également, ce qui fait des tueurs particulièrement dangereux car en quelque sorte sans "états d'âme"...
le jour critique intellectuel est le jour où nos pensées peuvent parfois "tourner en boucle"...

cycle intellectuel de 33 ans

les années critiques intellectuelles : s'agissant d'un cycle de 33 ans (équivalent du rythme biorythmique de 33 jours) j'ai remarqué que ce sont surtout les années i1 c'est à dire les années de départ d'un nouveau cycle qui sont fréquemment présentes en cas de problème : c'est notamment autour de l'âge de 33 ans que nous entrons avec la 34ème année de vie dans un nouveau cycle de 33 années.

modification de nos paramètres

"modification de nos paramètres" à l'arrivée et au cours d'une période critique septennale et d'un jour critique surtout  émotionnel.

l'arrivée et l'entrée dans une période critique septennale peut considérablement "modifier nos paramètres" (j'ai repris cette expression informatique car elle me semble bien correspondre à ce qui peut parfois se passer, au niveau de notre cerveau, de notre personnalité... du moins c'est ainsi que je le perçois...) cela reste individuellement très variable, et j'ai essayé de l'exprimer en regardant de plus près certains de ces "paramètres".

le jour critique émotionnel étant une réplique réduite (courte) du phénomène, on pourra retrouver ces mêmes éléments au cours du jour critique émotionnel hebdomadaire, bien sûr adaptés quand même au fait que le jour critique émotionnel est d'une durée d'environ 24 heures alors que la période critique septennale est/peut être d'une durée de quelques mois à un an, à un an et demi... la particularité importante du jour critique émotionnel est qu'il est fréquent puisque hebdomadaire, il survient chaque semaine... et il peut donner lieu à des actions et décisions "sur le champ"...

 + de sensibilité : nous allons être plus sensibles que d'ordinaire, ressentir de façon plus efficace et plus forte. nous pouvons donc être plus susceptibles, plus fragiles et émotifs. nous sommes aussi de ce fait plus réactifs. "effet grossissant ou amplificateur" de nos problèmes.

 + d'irritabilité : nous sommes plus facilement plus irritables (je dis parfois pour rire et faire comprendre, qu'une méthode pour trouver le jour critique émotionnel d'une personne, c'est que si vous la taquinez, ce sera le jour où elle se met réellement en colère :-)

 + de pulsions : passages à l'acte en tous genres plus faciles et fréquents à ce moment là. on a le petit + qui nous décide à agir. qui nous aide à déclencher l'action.
une tendance suicidaire peut par exemple conduire à se chercher des motifs pour passer à l'acte
nous avons là l'un des éléments importants du phénomène jour/année septennaux : l'élément "pulsions" qui va nous "pousser à l'action" plutôt à ce moment-là qu'à un autre.
associé à un effet de désinhibition, autre élément clé, la paire va bien sûr être très efficace...

donc attention jours, et périodes critiques peuvent "modifier notre raison et notre perception" au point de parfois conduire à des actes "extraordinaires" et catastrophiques...

- moins d'inhibitions : on n'est moins inhibé, voire plus du tout (désinhibition), pour opérer des passages à l'acte... ce qui explique beaucoup de drames en jour ou période critique (ensemble pulsions/désinhibition) suicide aussi : on n'a plus peur de mourir et on est vraiment décidé.. nous sommes désensibilisés (criminalité)...
on a dans un autre registre moins peur de déclarer sa flamme (nous sommes plus entreprenants), ou à l'inverse, d'envoyer balader son partenaire... ou son patron... :-)
c'est le second élément important du phénomène jour/année septennaux : nos freins sont lâchés ou ne fonctionnent quasiment plus... nous sommes désinhibés... alors en présence d'un effet simultané de pulsions, on voit ce que çà peut donner...
je compare parfois cet effet de désinhibition à une sorte d'ivresse (ivresse du jour critique émotionnel ou de la période critique septennale) car l'effet est un peu similaire à celle de l'alcool, à cela près que nous conservons quand même notre faculté de discernement : mais là aussi tout cela reste à étudier. (la question de l'abolition du discernement serait à revoir en fonction de la situation de nos cycles, de nombreux actes criminels ayant lieu en jour ou période critique du fait d'un effet de pulsions/désinhibition présent à ce moment-là, justement...) noter encore un phénomène important : je pense que la désinhibition liée à la consommation d'alcool, de drogue ou de médicament a probablement tendance à se cumuler avec celle du jour ou de la période critique : cela en fait alors une période encore plus "à risques", d'autant plus qu'une personne fragilisée et/ou dépendante aura tendance à plus consommer de ces produits à ce moment-là.

- énergie + ou - (selon) : les pulsions nous donnent de l'énergie mais une chute dans la dépression peut nous annihiler...
la version dynamisante fait qu'une grande partie de l'actualité est le fait de "septennaux" : les "acteurs septennaux" (entendre par là "agir en jour ou période septennaux") ont envie consciemment ou subconsciemment de bouger, se démarquer, agir...
le Net est un autre endroit très fréquenté par les "acteurs septennaux" : on crée blogs et forums, on intervient, souvent en jour/année septennale... parce que l'on a envie de se manifester, on éprouve le besoin de s'extérioriser et de communiquer, on y vient aussi parce que l'on a des problèmes dans ces moments là...
j'arrive souvent à repérer au coup d'oeil un "acteur septennal" par la description de son comportement ou ses actes, dans les faits d'actualité, ou encore par la teneur de ses messages sur le Net...

- plus de prise de risque : comme nous sommes désinhibés nous n'avons pas peur, voire pouvons devenir très imprudents (accidents, passages à l'acte criminels, ou "osés"... qu'en temps ordinaire "on n'ose pas",

- plus d'agressivité : lien avec les pulsions ; jour (jour critique) ou période (période critique) de colère plus facile, voire selon les personnes fragilisées colère "à risque" de dérapage... notre jour critique émotionnel est notre "jour de colère", voire parfois de rage...

- plus d'imagination : c'est comme un déblocage ou une ouverture plus grande - beaucoup de découvertes, inventions, prouesses, bonnes idées, durant cette période momentanément "portail" sur "d'autres espaces"... période des "illuminés" (les gourous le deviennent souvent en période septennale) mais aussi périodes particulièrement productives pour les grands découvreurs... "eurêka ! j'ai trouvé..." pourrait être une expression de jour critique émotionnel ou surtout de période critique septennale... :-)
jours et périodes critiques sont souvent, en quelque sorte, des jours et périodes "d'hyperactivité du cerveau"

- plus d'attachement voire fixation (on tombe amoureux), voire obsessions et déviances (pédophilie), plus de sentiments : peuvent devenir excessifs (drames conjugaux, familiaux : ce qui explique la présence fréquente d'un jour critique ou d'une période critique lors de nombreux drames conjugaux et familiaux)

- moins de "raison" : nous sommes moins raisonnables (notre Conscience est en quelque sorte "diminuée") : nos valeurs habituelles peuvent être modifiées, devenir extensibles, voire parfois inversées... lorsqu'il s'agit par exemple d'actes violents... (pouvant aller jusqu'à "déconnection" de la raison)
donc attention jours, et périodes critiques peuvent "modifier notre raison et notre perception" au point de parfois conduire à des actes "extraordinaires" et catastrophiques...


- Jeckyll et Hyde : ils sont une illustration intéressante et bien adaptée à ce qui peut se passer un jour critique émotionnel et/ou une période critique septennale : ils sont nos jours/périodes Hyde... et ce dernier va parfois prendre le relais le temps d'un jour, dans le cas du jour critique émotionnel, ou pour une durée bien plus longue, dans le cas d'une période critique septennale... : c'est ce possible "changement de personnalité" qui est à l'origine de maintes mésententes, séparations et drames conjugaux mais autres aussi...

 + sensibles et fragiles psychiquement et physiquement : çà reste à déterminer précisément mais j'ai constaté que la période critique septennale correspond d'après de nombreux témoignages au moment de démarrage de pas mal de maux physique et psychiques, un peu comme s'il s'agissait d'un moment auquel nos défenses sont fragilisées... ou encore simplement d'un moment "porte d'entrée"...
sur certains forums consacré à des maux divers la majorité des "malades" sont des "septennaux" ou sont tombés malades à l'arrivée d'une période critique septennale... or une maladie qui se déclare en période critique septennale n'est pas - à mon avis - la même chose que la même maladie qui survient à un autre moment : je pense qu'elle a un lien avec notre psychisme et/ou notre état psychique du moment, notamment... mais comme je disais c'est une piste qui reste à voir de bien plus près.

c'est là une "liste" expérimentale et provisoire...

mais attention, en général et dans la grande majorité des cas, jours et périodes critiques se passent sans trop de perturbations et nous les assumons comme faisant partie de nos préoccupations quotidiennes...

ils sont toutefois des jours et périodes où nous pouvons être "un peu à beaucoup, différents d'humeur et d'état d'esprit" en fait ils sont censés nous faire réfléchir, et nous mobiliser, nous "réveiller",  nous faire bouger, pour parfois réviser nos situations, "pour que nous réglions nos affaires" en suspens ; car c'est surtout dans ces moments-là que celles-ci ont tendance à nous revenir à l'esprit... à la faveur d'une sorte d'hyperactivité cérébrale... ils sont aussi censés nous "donner envie" d'autre chose...

il peut arriver que face à une telle "séquence de rappel", nous préférions  l'ignorer ou remettre à plus tard, ou encore que nous soyons désemparés, nous sentions "bousculés", et ne sachions pas quelle direction prendre ; c'est cela qui peut alors donner lieu à des perturbations momentanées... (agressivité, dépressions : parfois foudroyantes le jour critique émotionnel ou septennales en période critique longue)
d'où l'intérêt de comprendre le mécanisme et s'en imprégner pour bien réagir le cas échéant et même être un peu "préparé à l'avance"...

pulsions-désinhibition

l'humain n'est pas facilement violent car il existe des inhibitions qui, en principe, l'en empêchent. il a généralement besoin d'être désinhibé pour agir et notamment commettre des faits graves.
certains produits peuvent contribuer à une désinhibition de l'individu : l'alcool figure probablement en premier lieu, puis diverses drogues également... et peut-être certains médicaments...

mais il existe aussi certains rythmes et cycles naturels de notre psychisme qui vont induire périodiquement, à rythme régulier,  des effets similaires :  un effet de pulsions associé à un effet de désinhibition.

et c'est essentiellement dans cet espace de temps que, lorsque certaines conditions extérieures sont réunies et viennent s'ajouter (tensions, conflit, dispute, désaccord, dépression, etc...), que l'humain peut "déraper", et, dans les cas particulièrement graves, "disjoncter", "péter les plombs", avoir un "coup de folie", céder à un "épisode de rage ou de colère", arriver à un stade où il ne se maîtrise plus (ou plutôt n'a plus envie de se maîtriser)  ... et alors parfois passer à l'acte d'agresser voire de tuer l'autre. (ou d'ailleurs parfois se tuer lui-même, aussi... les violences contre soi-même étant souvent aussi de ce fait...)
c'est également dans cet espace de temps ("jours et périodes critiques cycliques") que les pulsions peuvent conduire un individu ayant des problèmes psychiques ou psychiatriques (violent, criminel, délinquants sexuels, pédophiles, etc...) à passer à un acte d'agression, parfois aussi récidiver : l'effet "pulsions" va inciter alors que l'effet "désinhibition" va contribuer à "ne pas retenir"...

en principe nos inhibitions face à la violence sont fortes, plus fortes encore face à l'acte de tuer, de sorte que généralement on est empêché de commettre l'irréparablenous nous "arrêtons à temps", mais dans certains cas, il arrive que la désinhibition - qui est une sorte de relâchement de nos freins, ou encore l'enlèvement de la sécurité d'une arme, permette - volontairement ou accidentellement - un dépassement "extraordinaire" des limites...
c'est ainsi que l'on retrouvera très souvent les jours et périodes critiques, lorsque l'on examine la situation des rythmes et cycles d'une personne impliquée dans un scénario dramatique...
(c'est là une désinhibition liée à nos rythmes et cycles naturels : l'absorbtion d'alcool et autres éventuels désinhibiteurs peut augmenter encore le risque en jour ou période critique, puisque les effets ont tendance à se cumuler...)

jours et périodes critiques sont des éléments "portails" ou en quelque sorte des éléments "laisser-passer" : ils vont affaiblir voire lever nos inhibitions et leur présence est souvent quasi nécessaire pour permettre ce dépassement des "ordinairement interdits"... et c'est la raison pour laquelle on les trouve généralement lorsqu'arrive un drame grave... (nous faisons alors ce que que nous ne ferions pas en "temps ordinaire"...)

en fait beaucoup d'actes graves ont tendance à arriver en raison de la présence par hasard (ou non) coïncidented'éléments "pulsions/désinhibition" : si ces éléments qui "poussent et désinhibent" ne sont pas là du fait d'une autre situation cyclique de la personne à ce moment-là, il y a de fortes chances qu'un scénario n'arrive pas ou se déroule différemment. on pourrait presque dire - en simplifiant, bien sûr - que personne n'aurait l'idée de "faire du mal" ... sauf s'il y est "poussé et autorisé" par la situation momentanée de ses rythmes et cycles psychiques... :-)
ce qui ne constitue pas une "excuse" en cas de problème puisque nous restons maîtres de ce que nous faisons : nos rythmes et cycles psychiques proposent et c'est nous qui disposons...
aujourd'hui néanmoins, ces rythmes et cycles ne sont pas connus, de sorte que l'on pourrait dire qu'il y a un brin de circonstances atténuantes : ce ne sera plus le cas lorsqu'ils auront été découverts et vulgarisés, puisque nous saurons alors quand et pourquoi peuvent avoir lieu des excès et "dérapages"... 


voici ces jours et périodes, par ordre d'importance :
(sommairement car tous les jours et périodes critiques n'ont pas la même importance, ni les mêmes effets...)

jour critique émotionnel : il est hebdomadaire et lié à un rythme de l'humeur à pulsation chaque septième jour. démarrant le jour de la naissance (tous les rythmes et cycles dont je parle démarrent à la naissance). il s'agit de ce fait toujours du jour de la semaine où on est né. une personne aura par conséquent tendance à "craquer", passer à l'acte, à récidiver, le jour de la semaine où elle est née... ou autour de ce jour, par suite d'un effet de tension accumulée. toutes les quatre semaines le jour critique émotionnel est plus fort (E1 puis E8, E15 et E22 ici http://biorythm.online.fr/w/ )  car c'est le premier jour, jour de "redémarrage" d'un nouveau cycle de quatre semaines)

période critique septennale : ce sont nos âges de la table de sept. la période critique démarre environ l'anniversaire précédent l'anniversaire septennal.
jour critique physique : c'est un rythme induisant des pulsions physiques et psychiques chaque sixième jour de la vie. (certains jours critiques physiques étant plus fréquemment en cause que d'autres). par ordre d'importance : P17/P18/P19 - P1- P6/P7 - P12) (les jours critiques sont ici http://biorythm.online.fr/w/ )

- année critique physique : il s'agit de chaque sixième année de vie. j'ai toutefois constaté que certaines années sont plus fréquemment présentes lors de scénarios dramatiques, notamment les années de vie 24 (âge autour de 23 ans), 48 (âge autour de 47 ans) par exemple (ce sont chaque fois les années P1 point de départ d'un nouveau cycle qui dure 23 ans - il s'agit en fait de l'équivalent en "grand modèle" du rythme précédemment cité de six jours.

- proximité de la date anniversaire. (la date anniversaire peut être une période de blues ou de dépression, de pulsions aussi, pour un certain nombre de personnes, et plus souvent que l'on ne pense. j'ai remarqué sa fréquente proximité lors de drames divers - voir aussi à six mois de l'anniversaire car il semble s'agir d'un rythme semestriel)

- jour critique intellectuel : fonction d'un "cycle du cerveau et de la pensée" de 33 jours comportant aussi quatre jours critiques d'effet variable selon les personnes. le premier jour (i1) et le jour i9 du cycle semblent là aussi avoir plus d'incidence que les suivants, mais cela reste à étudier. (j'ai entretemps appelé i9 le "jour des tueurs" à force de le retrouver lors de drames graves, en raison apparemment de la forte désinhibition qu'il peut causer)

- année critique intellectuelle : on remarque surtout la première année d'un nouveau cycle (année critique i1) et c'est autour de nos 33 ans.

les aspects intéressants sont alors que l'observation des cycles permet de mieux comprendre et parfois expliquer les éléments moteurs d'un drame arrivé, mais surtout aussi de connaître A L'AVANCE les jours et périodes à risque, permettant ainsi de faire une prévention efficace.


l'intérêt de ce mécanisme naturel réside dans le fonctionnement même de l'humain (probablement même du "vivant") : jours et périodes critiques constituent chaque fois une sorte d'épisode de "révision et remise en cause" d'un état ou d'une situation lors duquel on est amené à reconsidérer, à bouger, évoluer... (ce qui se passe très bien et "naturellement", la plupart du temps : il s'agit en fait d'un outil spécialement conçu afin que nous avancions et surtout que nous réglions nos problèmes éventuels)
pour cela l'humain a droit à un coup de pouce probablement hormonal : pulsions qui lui donnent envie de bouger ou faire bouger quelque chose, de changer un état ou une situation, cet effet de pulsions étant associé à un effet simultané de désinhibition pour faciliter le passage aux actes. la désinhibition est nécessaire afin (si on voulait imager) de ne pas freiner (par peur, p.ex. ou oublier de débrayer pour changer de cap ou de vitesse, alors que nos hormones appuient sur l'accélérateur... :-)
alors, avancer, évoluer, "sortir des ornières" c'est bien, et le mécanisme est fait pour cela... mais il peut aussi faire déraper, "sortir des gonds", lorsque l'on part dans la mauvaise direction...


la notion de pulsions+désinhibition est probablement l'idée - et la conséquence - la plus importante si l'on s'intéresse au fonctionnement des rythmes et cycles humains : elle est une "levée des inhibitions" afin de favoriser le mouvement, l'action. (ingénieux mécanisme évitant au "système" de s'enliser et le faisant évoluer : et on peut aller jusqu'à penser l'appliquer à la théorie de l'évolution, expliquant peut-être certains "sauts évolutifs"...)...
le mécanisme est à pulsations périodiques (rapprochées et d'effet court lorsqu'il s'agit de rythmes courts - éloignées et d'effet long lorsqu'il s'agit de cycles longs). le mécanisme est endogène et naturel et - je pense - probablement le fait d'une horloge hormonale au fonctionnement très précis.
et les effets induits ne sont pas seulement du domaine des faits divers de l'actualité - qui sont en quelque sorte "exceptionnels" - mais portent aussi sur nombre de nos actes et comportements de la vie courante...


nous avons diverses façon d'exprimer les "dérapages" liés à ce mécanisme de "pulsions/désinhibition" :
"c'était un coup de folie"
"je n'étais pas moi-même"
"l'auteur a agit dans un état de profond désarroi"
"dépression"
"pas un comportement normal ce jour-là"
"perturbé psychologiquement"
"dépressif et suivi psychiatriquement"
"agité, désabusé et confus"
"agit par vengeance"
"avait des tendances suicidaires"
"altération du discernement"
"avait des antécédents psychiatriques"
"irresponsabilité pénale"
"j'ai perdu la tête"
"un couple sans histoire"
"J’étais conscient sans être vraiment moi-même"
"J'étais en dépression mais je n'arrive toujours pas à comprendre comment j'ai pu en arriver jusque là"
"elle a pété les plombs... un cable..." 
"j'ai failli..."


effets liés à nos jours et périodes critiques

voici une liste - non limitative - des effets que j'ai observés lors de nos jours et périodes critiques, et qui ont une incidence sur nos humeurs et nos comportements.


période critique septennale (ce sont nos années de la table de 7 ou autour de ces années) : dépressionnégativisme, pessimisme, manque d'envie et de motivation, burn-outproblèmes conjugaux (séparations et divorces : nous nous rencontrons, mais aussi nous séparons, faisons des enfants, avons des aventures extra-conjugales...), drames conjugaux et familiaux, infanticides, meurtres, "coups de folie", pédophilie, survenance de certaines pathologies, agressivitéhyperactivité (on peut devenir "insupportable" voire "infernal", on fait du zèle), suicide, délires et hallucinations, viols, envie de pleurer, sensibilité au bruit, tendance à remettre en causepériode Hydeart et tendance à provoquer des réactions de violence chez l'autre, contrariété facile d'où conflits, modification de notre échelle de principes et de valeurs (parfois carrément inversion), devenons excessifs, sommes "débridés", stimulations pouvant aller jusqu'à un "effet de coke", "çà donne des ailes", manies, intolérance à la frustration, à l'ordre, insoumission, désinhibition (prise de risque, absence de peur et de mesure, de raison), hyperactivité cérébrale, accidents (phénomène de "tête ailleurs"), "accidents-suicide", impression d'une amplification de problèmes ou interprétation de problèmes alors qu'ils n'en sont pas... (harcèlement p.ex.), on peut devenir "harceleur", prudence si l'on s'occupe d'animaux en tout genre : ils ressentent notre changement d'état et peuvent de ce fait devenir rebelles ou agressifs, changement de personnalité (le temps de la période critique, mais parfois aussi bien plus long, voire définitif), perturbations psychiques diverses et de diverse intensité (altération du discernement), hypocondrie, extrémisme, militantisme, excès de zèle, terrorisme, conversion, modification de notre perception des choses et de nos éventuels problèmes, de notre "échelle de réactions" : ressenti d'une amplification qui peut précipiter une réaction excessive, bellicisme (nombre de "va t'en guerre" sont des "septennaux"),

à l'inverse, aspects "positifs" de la période critique septennale inventions, découvertes, ingéniosité et efficacité accrues, activité, envie de bouger, d'entreprendre, opérations à succès, remises en cause, changements positifs, nouvelles rencontres et entreprises, envie et décision d'améliorer une situation, décision de sortir d'une situation non satisfaisante, période ou épisodes "d'éveil", naissance de "vocations" (la plupart de nos "éveillés" célèbres sont des "éveillés septennaux"...), 
(http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2012/11/eveil.html)



jour critique émotionnel (les jours indiqués E - ou autour, ici : http://biorythm.online.fr/w/ )(hebdomadaire, il s'agit toujours du jour de la semaine où nous sommes nés) : comme ci-dessusjour de colèremauvaise humeur, disputes et altercations, impatience, crises de nerf, hystérie, réactions excessives, excès de zèle, hyperactivité, jour des fugues, des forcenéssuicides, viols, blues, dépression, dépression "foudroyante", angoisse, délires et hallucinations, visions, erreurs humaines, pensées négatives, jour où on "a la haine", la "rage", jour Hyde, manque d'envie et de motivation, envie de boire de l'alcool pour ceux qui ont un problème avec la boisson, pulsions sexuelles plus fréquentes, prise de risque : envie de jouer à la "roulette russe",
désinhibition (prise de risque, absence de peur et de mesure, voire de raison)
à surveiller comme étant notre jour de petites et grosses "bêtises"... (la rage ou la colère nous emporte car nous sommes "débridés") peut agir comme une "mise sous tension" dès la veille au soir (dérapages et passages à l'acte violents), déclencheur de "décompensations",
prudence aussi pour ceux qui ont à s'occuper d'animaux : ils ressentent notre éventuelle mauvaise humeur et peuvent se rebeller.

envie d'écrire, de communiquer : nous écrivons, mailons, nous inscrivons et discutons sur les forums, nous téléphonons (famille, amis), envie de réfléchir, de parler, monologuer, tristesse (envie d'être consolé), morosité, stimulant et excitant, envie de pleurer (parfois "pour rien"...)
c'est le jour où il faut tourner sept fois sa langue dans la bouche avant de parler, et aussi où il faut tourner le doigt sept fois au-dessus du clavier avant d'envoyer ce que l'on a écrit... :-)


jour critique physique (les jours indiqués P - ou parfois aussi ceux à côté, ici : http://biorythm.online.fr/w/ ) : insomnie voire nuits "cauchemardesques"maux de têtefatigue, hyperactivité, incidents de santé, malaises, pulsions psychiques et physiques (sexuelles)(violeurs, "tueurs",) "maladie d'un jour", tristesse, dépression, mauvaise humeur, jour des erreurs humainesjour des accidents, assoupissements, "dans la lune" ou on admire le paysage : attention au volant, frilosité, "jambes sans repos" et crampes, réveil et lever difficiles, jour des "downs" physiques (alertes) et des décès des personnes en fin de vie, fièvre légère chez bébé, jour des pleurs chez bébé (jour des bébés secoués),  jour des MSN (mort subite du nourrisson), jour des échecs sportifs (moins d'énergie que les autres jours, parfois imperceptiblement) : on attendait le champion, mais un jour critique physique il échoue,
l'épisode "down" critique physique P18/P19 peut avoir un effet de jour critique émotionnel donc pour ces deux jours voir aussi les effets d'un jour critique émotionnel (ci-dessus, premier alinéa seulement)



année critique physique et émotionnelle : violences, suicide. peut être une année entière de grande voire très grande fatigue. violences risque surtout années P1 (première année d'un nouveau cycle autour de 23/24 ans et 46/47 ans)


proximité anniversaire (environ le mois qui précède et celui qui suit) : dépressionsuicide. agressivité, passages à l'acte criminels, hyperactivité,


- jour critique intellectuel : hyperactivité cérébrale ou l'inverse (difficulté à "rassembler ses esprits" et ses idées), on peut être "à côté de la plaque", accidents et maladresses, violences et désinhibition jour trouvé fréquemment lors de passages à l'acte d'un certain type de "tueurs" tueurs "sans états d'âme"ou "meurtre exécution", ou aussi "coups de folie" - surtout i1 et i9 - j'appelle i9 le "jour des tueurs" (mais aussi lors d'accidents de courses automobiles (vitesse de réaction et réflexes probablement affectés), jour où nos pensées "tournent en boucle", où le cerveau "fait des siennes"......


- année critique intellectuelle : hyperactivité cérébrale, perturbations liées à ce qui est un épisode critique du "cycle de la pensée", forte envie périodiquement de discuter et remettre en cause... (pouvant prendre presque une forme de harcèlement) (?) violences (surtout année i1 autour 32/33 ans)

famille, couple et chronopsychologie

chronopsychologie ?

j'appelle ainsi les phénomènes psychologiques et comportements qui sont liés à une périodicité rythmique ou cyclique, et qui dans le cas du présent sujet, ont une incidence sur la vie d'un couple, sur la vie des familles.

si l'on s'intéresse au sujet des rythmes et cycles humains, on en découvre un certain nombre qui jouent un rôle important tout au long de nos vies quotidiennes...

on trouve notamment :

- le rythme psychique et émotionnel hebdomadaire : il est d'une grande importance dans nos rapports quotidiens avec l'autre, les autres... (c'est notre "jour critique émotionnel")

- un cycle psychique et émotionnel septennal : tout aussi important que le précédent, mais il fonctionne au moyen de "pulsations septennales"... donc plus étalé dans le temps. c'est un "cycle long".

ces cycles vont avoir leur mot à dire et nous influencer tout au long de nos vie mais aussi et surtout, dans le sujet qui nous intéresse, ils vont jouer un rôle pour nous retrouver et rencontrer les uns et les autres... pour nous séparer aussi (c'est là qu'ils sont particulièrement intéressants à prendre en considération)...



alors comment çà marche ?

1) le CYCLE PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL SEPTENNAL :
nous arrivons chaque septième année de notre vie (donc en fait les anniversaires de la table de sept, dans ce que j'ai appelé une "période critique septennale". (voir les dates de ces périodes ci-dessus, dans la rubrique concernée).

ces périodes sont importantes à retenir et observer car il peut souvent ne pas s'y passer grand chose, mais dans certains cas elles vont donner lieu à de remarquables "changements" chez une personne, donc également dans un couple, et elles peuvent aller jusqu'à le remettre en cause...

une grande partie des séparations sont en effet liées directement ou indirectement à l'arrivée ou à la situation en période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple, ou parfois des deux... (ce qui a alors pour effet d'accentuer encore les problèmes en raison de la compatibilité qui en résulte, les deux ayant alors chaque fois des périodes critiques septennales communes, ou successives).

si du fait d'un effet de pulsions/désinhibition (voir ce titre) nous avons tendance à nous rencontrer à l'occasion d'une période critique septennale, celle-ci, à l'inverse, peut participer également à notre séparation... pour les mêmes raisons.

la période septennale est une période durant laquelle nous sommes poussés à bouger... à remettre en cause des tas de choses, y compris, s'il y a lieu, notre vie de couple et de famille, notre vie professionnelle aussi... nous pouvons nous métamorphoser, changer de personnalité : l'arrivée d'une période critique septennale peut parfois déclencher l'incompréhension, la mésentente voire les hostilités dans un couple. elle peut engendrer parfois une longue et profonde dépression (tellement typique parmi les graves dépressions que je l'ai appelée la dépression septennale) de l'un des partenaires d'un couple, dépression qui peut aller jusqu'à remettre en cause le fonctionnement de l'union.(on ne reconnaît plus l'autre, on ne se comprend plus, l'autre a changé, le dialogue devient difficile, voire impossible).
si vous en êtes là commencez par vérifier si l'un des deux n'est pas à l'entrée de l'une de ses périodes critiques septennales... ou s'il ne se situe pas déjà à l'intérieur de celle-ci...

que peut-on faire ?

le fait d'avoir connaissance à l'avance et de comprendre le mécanisme aide déjà énormément car on comprend alors l'origine du ou d'une partie des problèmes. le reste est ensuite une question de dialogue, d'aide et de compréhension mutuelles. mais ce dialogue se fait avec bien plus de facilité si l'on comprend la raison de la mésentente qui est l'état particulier et la transformation de l'autre.
on peut, pour cela, convenir à l'avance d'un pacte d'aide et de non-agression, d'attention particulière, sachant que les échéances possibles sont précisément connues.

ensuite... la période critique septennale est une période "à durée déterminée" ce qu'il est important de savoir, car cela veut dire que dans de bonnes conditions les problèmes sont passagers, s'arrêtent ou se solutionnent avec la fin de la période septennale. cela veut dire que la "métamorphose" ou la situation "d'étranger", la grave dépression parfois, dans laquelle s'est enfoncé l'autre va prendre fin avec la fin de la période critique : il s'agit donc, en quelque sorte, de tenir jusque là, au moyen de patience et de dialogue, d'attention, de compréhension et d'efforts communs. quitte à se faire aider : la période critique septennale est un test qui va permettre de savoir si le couple tient bon. et elle peut gravement le mettre à l'épreuve. pourtant il ne s'agit que d'une étape chronobiologique de notre psychisme... résultat probable d'un cycle hormonal septennal naturel... mais dont le but est de tester.... et d'avancer...

la période critique septennale peut aussi faire apparaître que l'aventure commune d'un couple est terminée, puisque l'on peut "changer de personnalité" et ne plus s'entendre ou se reconnaître. comprendre ce mécanisme devrait aider cependant à se séparer en bons termes. et là aussi un pacte d'entente et de non agression préalable peut aider : si on s'assemble par amour, on peut très bien se séparer par amour et en bons termes, par consentement mutuel si l'on voit que çà ne va plus et que c'est mieux pour tout le monde.

il est cependant important de s'attacher scrupuleusement à respecter un "pacte" car en période de dépression on aura tendance à jeter à l'eau toutes les bonnes résolutions.

un couple jeune remarque assez rapidement s'il fonctionne ou pas... indépendamment des périodes critiques septennales.
une première épreuve aura lieu souvent avec l'arrivée de la période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires. je ne sais encore l'expliquer mais la formation d'un couple peut aussi constituer une "entité" nouvelle, qui pourra voir surgir des difficultés après une durée de sept années de vie commune... il peut être utile d'en tenir compte.

mais là où les périodes critiques septennales peuvent parfois aussi faire des dégâts, c'est dans un couple qui est ensemble et a bien fonctionné de longue date, ou même dans la vieillesse : subitement, après de longues années de vie commune, ce peut être la catastrophe...
souvent on ne comprend pas pourquoi : il faut alors chercher la période critique septennale de l'un ou de l'autre partenaire d'un couple...

et c'est à ce moment là que l'on peut encore sauver la situation... en prenant conscience en amont et dès l'apparition des premiers symptômes, du fait que l'un ou l'autre des partenaires en entrant dans sa période critique commence à "changer"... commence à devenir distant, déprimé, agressif, par exemple...

un couple peut être infernal et ne rien faire voir à l'extérieur, puis casser. mais il peut aussi fonctionner de façon parfaite depuis des décennies et subitement çà ne va plus : il est alors presque certain qu'il s'agit de l'arrivée d'une période critique septennale de l'un ou de l'autre des partenaires... et c'est alors à ce niveau là qu'il faut agir.

la "bombe à retardement" que peut constituer la période critique est cependant déjà partiellement désamorcée si l'on connaît le fonctionnement du mécanisme.
ceci pour le cycle psychique et émotionnel septennal qui est un cycle long.



il faut également tenir compte de son équivalent hebdomadaire, donc un rythme court car à pulsations très rapprochées :

2) le RYTHME PSYCHIQUE ET EMOTIONNEL HEBDOMADAIRE :

il s'agit d'un rythme psychique et émotionnel simple et court : il induit chaque septième jour à partir de notre naissance un "jour critique émotionnel" qui va être notre "jour de susceptibilité" (de colère, de mélancolie, de blues et de tristesse - c'est notre jour du "verre à moitié vide", de mauvaise humeur, de possible passage à l'acte violent aussi, lorsqu'il devient notre jour "Hyde"...).

il est simple de se rappeler de son jour critique émotionnel puisque en raison de sa cyclicité de sept jour ce sera - du fait d'une règle mathématique - toujours le jour de la semaine où nous sommes nés... né un mardi... notre "jour à prendre avec des pincettes" sera toujours le mardi. (attention dès le lundi soir dans ce cas car la journée chronobiologique semble se dérouler de 18H la veille à 18H le soir).

en couple ou en famille il est intéressant que chacun connaisse et tienne compte du "jour critique émotionnel" de l'autre. cela peut éviter des disputes (qui ont tendance à arriver surtout ce jour là : il peut être prudent de remettre, d'un commun accord, les discussions à un autre jour), voire des drames (eux aussi ont tendance à arriver ce jour là : violences conjugales, familiales, suicides aussi ... arrivent le jour critique émotionnel car celui-ci est notre "jour soupape", notre jour "sensible" et comme c'est jour de pulsions/désinhibition, dans les cas extrêmes, il peut devenir jour de "disjonction" ou pour parler encore plus communément, "jour de pétage de plombs"...

cet effet de pulsion/désinhibition de notre jour critique émotionnel peut nous faire mettre en retrait ou oublier notre raison et nous faire dire et faire des bêtises que nous ne dirions pas ou ne ferions pas un autre jour...

si on le sait on peut en tenir compte et considérer les choses différemment : un scénario pourra alors se dérouler de façon moins pulsionnelle.


situations de compatibilité :

- compatibilité de jours critiques : il y a compatibilité des jours critiques émotionnels si deux personnes sont natives du même jour de la semaine. par exemple deux personnes nées le jeudi pourront être mélancoliques ... ou en colère... toujours ensemble ce jour là, le même jour par conséquent. on voit aisément ce que cela peut donner au niveau de l'ambiance d'un couple, de la situation parent enfant (conséquence de nombreux différends parent enfant - voir ci-dessous au sujet des enfants septennaux) ou encore frère/soeur, et même ... mari(gendre) et belle-mère :-)
attention aussi aux jours critiques successifs...

- compatibilité de périodes critiques : il y a compatibilité des périodes critiques septennales lorsque deux personnes sont ensemble dans un âge multiple de sept : mari et femme qui ont le même âge mais aussi qui ont 35 et 28 ans par exemple...
il en résultera également des situations à risque... épisodes de tensions... toujours ensemble au même moment, tout au long de la vie du couple, ce qu'il est très utile d'avoir compris...

une autre situation à compatibilité à prendre en compte, est celle des périodes critiques septennales successives : un mari de 42 ans va être "différent" voire avoir des problèmes durant sa période critique. lorsqu'il en sort - (on peut s'y embourber dans certaines conditions, mais en principe on en sort à 43 ans) si son épouse a à ce moment là ses 42 ans à elle... elle va prendre la relève dans cette période délicate qui peut être de dépression ou autres difficultés...
le fait de le savoir peut désamorcer les effets à risque ou au moins les atténuer...


enfants septennaux : un enfant septennal est un enfant conçu et né (eh oui les pulsions/désinhibition n'y sont pas étrangères) en période critique septennale. il sera un enfant septennal c'est à dire qu'il aura ses périodes critiques septennales toujours en même temps que l'un ou l'autre ou les deux parents... attention aux étincelles lorsque l'enfant sera, en raison de la compatibilité, dans un âge septennal "délicat" (sa période critique septennale à lui) à l'âge de 7 ans, 14 ans, 21 ans... alors que la situation sera tout aussi délicate pour le parent se retrouvant lui-même et au même moment dans sa propre période septennale - situation "à risque", donc... ce dont il peut être utile de se rappeler afin de voir venir et mieux gérer...

autres périodes à risque éventuel (blues, déprime voire dépression, tensions, agressivité) qu'il est utile de connaître et le cas échéant dont il convient de tenir compte : l'épisode des jours critiques physiques P18/P19 (peut avoir l'effet d'un jour critique émotionnel) et la période autour de l'anniversaire, ainsi qu'à six mois de l'anniversaire. (à étudier mais un rythme semestriel est suspecté)