en pratique

et diverses choses en pratique...
sommairement les liens, effets, et parfois moyens de prévention dans certaines situations... l'effet de pulsions et de désinhibition de nos jours et périodes critiques peut en effet être à l'origine de changements de comportements...


accident : les accidents ont tendance à arriver plus à certains moments qu'à d'autres. il faut donc redoubler de prudence dans ces moments-là, que voici (par ordre d'importance):
- jour critique physique
- jour critique émotionnel
- période critique septennale 
prévention : si on a un doute quant à notre forme ou notre état on peut vérifier la situation cyclique du moment. avec l'habitude on sait reconnaître un jour critique physique par exemple parce qu'on le "ressent" et si nécessaire on peut vérifier ses cycles. le jour critique physique est souvent présent dans le cas de l'accident automobile, ménager, erreur humaine, etc... le repérer à l'avance permet de faire plus attention et ainsi d'éviter des accidents. un jour critique émotionnel peut également être en cause lorsqu'il est à l'origine de distractions du genre "la tête à autre chose", ou à l'origine de colères...
la période critique septennale est une période plus longue qui peut nous rendre plus entreprenants et plus "agressifs" donc plus "preneurs de risques", nous pouvons avoir également beaucoup de préoccupations diverses qui peuvent nous distraire, et nous pouvons être moins prudents.
comme le jour critique émotionnel, la période critique septennale peut momentanément nous désinhiber... ce qui peut alors être la cause d'accidents car nous pouvons avoir tendance à plus facilement dépasser les limites.



alcoolisme : les personnes qui essaient de décrocher de leur addiction à l'alcool doivent prêter une attention particulière à leur jour critique émotionnel (il est hebdomadaire, les jours en E ici : http://biorythm.online.fr/w/ ) ainsi qu'à leurs périodes critiques septennales. ce sont des jours et périodes de possible mélancolie, cafard, colère et ils vont, de ce fait nous donner envie de boire.
prévention : repérer à l'avance les jours à risque ou savoir les reconnaître et ressentir. et se méfier ce jour là de ses "envies" de boire. particulièrement important pour ceux qui essaient de "décrocher" : c'est un jour critique émotionnel par exemple que l'on peut être tenté plus fortement qu'à un autre moment, et être alors amené à "rechuter"... attention car notre jour critique émotionnel est en même temps notre jour de grande sensibilité, susceptibilité et de colère... et dérapages...



animaux : lorsque l'on s'occupe d'animaux ou qu'on les côtoie aussi (chiens, chats, chevaux, par exemple, et même fauves pour les dresseurs...) il est utile de prendre en compte notre éventuelle situation en jour critique émotionnel (toujours le jour de la semaine où nous sommes nés). nos comportements peuvent être imperceptiblement (pour nous) modifiés ce jour-là, mais un animal va pouvoir ressentir une forme de nervosité voire d'agressivité de notre part. il pourra donc être perturbé, méfiant, moins docile, voire il pourra devenir agressif.




anniversaire : la survenance de la date anniversaire peut constituer un épisode de dépression et/ou d'agressivité pour certaines personnes. (les semaines qui précèdent et/ou celles qui suivent)
(édit : à vérifier s'il n'y a pas un fonctionnement par pulsation semestrielle, çàd même épisode critique autour de l'anniversaire et à environ 6 mois de l'anniversaire).
prévention : le savoir peut aider lors de la survenance d'un état dépressif ou agressif parce que l'on en connait la cause ou l'une des causes... cela peut aussi contribuer à désamorcer l'effet ou l'atténuer.




"bavures" : ce sont des erreurs souvent graves et qui peuvent être commises par un policier au cours d'une opération, mais aussi par un malfaiteur ou même un tiers en cause... et elles sont bien plus rendues possibles lorsque les personnes se trouvent dans une situation critique.
prévention : connaître le mécanisme des rythmes et cycles et le cas échéant savoir repérer et reconnaître ses divers états émotionnels. vérifier à l'avance ou sur le champ en cas de doute, sa situation cyclique.
tous les métiers et activités lors desquels le contrôle de soi revêt une grande importance, gagneraient beaucoup à s'intéresser aux rythmes et cycles psychiques humains, car ce sont eux qui vont être généralement en cause lors de défaillances, erreurs ou "emportements"...pouvant parfois conduire à un drame. attention en particulier aux réactions pouvant facilement être excessives en jour critique émotionnel ou en période critique septennale... 




bébé :  P1, P6/P7, P12, P18/P19 (ici : http://biorythm.online.fr/w/) sont les jours critiques physiques, P1 étant avec P18/P19 le plus important. possible ces jours-là : fatigué, "malade", insomnie, refus de manger, et nervosité. pleurs inhabituels : attention particulière car c'est le "jour des bébés secoués" parce que bébé peut pleurer de façon "insupportable" et sans arrêter... absolument se maîtriser et ne jamais secouer bébé.
le jour critique émotionnel (E) se remarque moins chez un petit bébé mais ce peut être un jour où bébé est "différent". (jour de possible mélancolie)
prévention : en cas de questionnement, consulter la situation cyclique du bébé peut beaucoup aider à comprendre et souvent se rassurer. prendre en compte également son propre cycle (celui du gardien) car c'est en jour critique émotionnel ou certains jours critiques physiques forts que l'on n'a tendance à moins supporter un bébé qui pleure beaucoup.


bébé secoué : bébé a tendance à se faire secouer parce qu'il pleure beaucoup, et/ou parce que le "gardien" (parent ou autre) perd son sang-froid.
prévention : bébé peut pleurer avec une insistance particulière et sans que l'on n'arrive à le faire s'arrêter... son jour critique physique : P1 - P6/P7 - P12 - P18/P19. si on le sait (en vérifiant la situation des rythmes du bébé) on arrive à assumer. tenir compte que le jour critique physique semble démarrer déjà la veille au soir aux alentours de 18 heures (probable lien avec les connus "pleurs du soir" de bébé),
le gardien aura plus tendance à craquer son propre jour critique émotionnel (E1, E8, E15 et E22) plus simplement c'est toujours le jour de la semaine lequel nous sommes nés : il s'agit d'un jour de particulière sensibilité psychique. (dès la veille au soir de ce jour). donc prudence dans nos réactions et comportements ce jour-là. peut aussi être une période à risque : l'arrivée ou la situation en période critique septennale (autour de nos âges de la table de sept).




colère : certaines personnes peuvent avoir des problèmes parce qu'elles sont fréquemment colériques et/ou de mauvaise humeur. en y regardant de plus près on constate que cela arrive généralement le même jour de la semaine, leur jour critique émotionnel. (toujours le jour de la semaine où on est né). c'est un cycle tout naturel de nos humeurs qui peut produire cet effet.
prévention : se rappeler une bonne fois pour toutes quel est son jour critique émotionnel (attention car l'effet démarre déjà la veille au soir, voire l'après-midi : par exemple un natif du mardi "entre" dans son jour critique émotionnel dès lundi soir et y reste jusqu'à mardi soir.) on peut ensuite gérer et maîtriser cet état et ces accès d'humeur car on sait qu'ils peuvent être quasi hebdomadaires et pourquoi il en est ainsi.
pour l'anecdote : j'ai découvert les biorythmes (il y a maintenant plus de trente ans) parce que ma femme avait remarqué et noté mes mauvaises humeurs hebdomadaires toujours le dimanche alors que je suis un "natif du dimanche" (voir ce terme).




compatibilité : il y a différentes situations de compatibilité possibles.
compatibilité de jours critiques : il y a compatibilité des jours critiques émotionnels si deux personnes sont natives du même jour de la semaine. par exemple deux personnes nées le jeudi pourront être mélancoliques ... ou en colère... toujours ensemble ce jour là, le même jour par conséquent. on voit aisément ce que cela peut donner au niveau de l'ambiance d'un couple, mais aussi de la situation parent/enfant (conséquence de nombreux différends parent enfant - voir ci-dessous au sujet des enfants septennaux) ou encore frère/soeur, et même ... mari(gendre) et belle-mère :-)
compatibilité de périodes critiques : il y a compatibilité des périodes critiques septennales lorsque deux personnes sont ensemble dans un âge multiple de sept : mari et femme qui ont le même âge, mais aussi qui ont 35 et 28 ans par exemple... 
il pourra en résulter des situations périodiques à risque... épisodes de tensions... toujours ensemble au même moment, tout au long de la vie du couple, ce qu'il est très utile d'avoir compris...

- une autre situation de compatibilité à prendre en compte, est celle des périodes critiques septennales successives : un mari de 42 ans va être "différent" voire avoir des problèmes durant sa période critique. lorsqu'il en sort - (on peut s'y embourber dans certaines conditions, mais en principe on en sort à 43 ans) si son épouse a à ce moment là ses 42 ans à elle... elle va prendre la relève dans cette période délicate qui peut être de dépression ou autres difficultés... 
prévention : le fait de savoir peut désamorcer les effets à risque ou au moins les atténuer...





criminalité : les passages à l'acte criminels de certains types (agressions "gratuites", agressions "pulsionnelles"(colère), sexuelles, pédophiles, etc...) ont tendance à avoir lieu en jours et périodes "pulsions", c'est à dire en jours critiques (émotionnels surtout ou physiques) et/ou en périodes critiques (septennales surtout, et sextennales).
prévention : il y aurait beaucoup à dire car le sujet et les moyens sont vastes. la prévention peut venir d'une information et d'une éducation des personnes (comprendre et savoir pourquoi et à quel moment arrivent nos pulsions, par exemple) prise en compte des rythmes et cycles lors du suivi d'un délinquant ou d'un patient (ne pas le relâcher dans la nature à l'arrivée d'une période critique par exemple), le soumettre à un contrôle plus assidu lors de ses épisodes critiques, les récidives aussi peuvent avoir un lien avec la survenance de jours et périodes critiques... etc...


dépression hebdomadaire : elle a tendance à survenir notre jour critique émotionnel (nous en avons un chaque semaine mais d'intensité variable et c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés du fait d'un cycle de l'humeur de sept jours démarrant à la naissance)
le jour critique émotionnel peut causer des "dépressions foudroyantes" plus ou moins intenses (du coup de cafard à la crise d'angoisse, voire envies suicidaires dans les cas graves)... mais souvent il se manifeste par des états mélancoliques...
prévention : c'est surtout le fait de connaître à l'avance les moments auxquels cela peut nous arriver qui va nous être utile puisque nous pouvons nous y préparer "psychologiquement". et si cela arrive, nous pouvons mieux comprendre pourquoi, et savoir qu'il s'agit d'un mécanisme naturel de nos cycles : cela va nous aider à bien mieux gérer et surmonter ces passages parfois délicats. (attention le jour critique émotionnel démarre déjà la veille au soir avec parfois des épisodes ou des pics d'angoisse à son arrivée, aux alentours de 18 heures d'après mes observations, et durant la nuit)


dépression septennale : elle peut survenir ou à l'arrivée, ou lors de notre situation en période critique septennale. (c'est à dire autour de nos âges de la table de sept) et elle peut être la cause de dépressions profondes, longues et tenaces, parfois très graves puisqu'elles peuvent alors donner lieu à des idées suicidaires.
prévention : comme précédent.


disparition : elles ont tendance à survenir suite  à des différends, coups de colère ou gros coups de blues, et alors surtout le jour critique émotionnel (ou autour) ou en période critique septennale et elles ne sont pas sans risque, à ce moment-là, s'agissant d'éléments "colère", "prise de risque", et/ou désespoir.
prévention : il faut toujours avoir présent à l'esprit que notre jour critique émotionnel et notre période critique septennale sont des éléments qui ont la propriété de "grossir" la perception de nos problèmes et peuvent nous faire avoir des réactions excessives, qui vont pouvoir parfois conduire à prendre de gros risques (le jour critique émotionnel est aussi, pour cela, le "jour du suicide").
si on a pris le pli on sait qu'il est indispensable de relativiser et se maîtriser, de s'interdire des actes graves, auxquels nous pourrions être poussés parce que nous nous trouvons en situation de pulsions/désinhibition de notre psychisme. en quelque sorte ne pas se "faire piéger", se surveiller et "se tenir à carreau" notre jour critique émotionnel. (toujours le jour de la semaine où nous sommes nés - donc survenance hebdomadaire : résultat d'un cycle à pulsation de notre humeur chaque septième jour de notre vie)... on peut réellement dire que "demain çà ira mieux", ce qui est généralement le cas une fois le jour critique passé.



disputes : elles ont tendance à arriver notre jour critique émotionnel (le jour de la semaine où nous sommes nés).
prévention : notre jour critique émotionnel est notre jour hebdomadaire de sensibilité, de mauvaise humeur, parfois de provocation. il faut avoir cela présent à l'esprit lorsque nous discutons, mettons et remettons sur le tapis, remettons en cause (et nous en avons particulièrement envie ce jour-là), afin que la discussion ne s'envenime pas. prendre garde de ne pas provoquer intentionnellement même subconsciemment.
en famille l'interlocuteur doit également tenir compte du jour critique émotionnel de l'autre et ne pas "pousser à bout". remettre si nécessaire une discussion au lendemain.



drame ou comment peut se déclencher un drame, à la faveur d'un "élément déclencheur" d'un rythme ou cycle ?
- généralement et en temps ordinaire, lorsque nous avons de grosses préoccupations, sommes en colère, développons de la rancune, etc... tout ceci est maîtrisé ou enfoui par la plupart d'entre nous parce qu'au fond nous savons que ce "n'est pas bien" - nous sommes inhibés et ne passons pas à un acte violent. (l'inhibition est quelque chose dans notre conscience ou notre subconscience qui va nous empêcher de commettre certains actes, d'avoir certains comportements)
- les rythmes et cycles vont cependant nous faire passer périodiquement (de façon hebdomadaire par exemple pour le jour critique émotionnel) dans un espace de temps où nos "paramètres" vont changer. nous sommes alors poussés à plus de réaction et surtout nous sommes moins inhibés voire désinhibés : dans la majorité des cas nous maîtrisons cependant toujours, parce que nous restons conscients du danger d'un éventuel dérapage. "on ronge son frein". et l'épisode critique se passe parfois dans un état de forte tension mais sans faire de dégâts sérieux.
dans l'exception cependant et à force d'accumulation des tensions et de répétition des épisodes critiques, certaines personnes n'arrivent plus à se maîtriser lorsque survient un nième jour ou épisode critique, et c'est alors - dans cet état désinhibé d'un jour critique émotionnel par exemple (puisque c'est le jour qui semble le plus en cause lors d'un drame) que des personnes craquent et dérapent. ce sont alors divers degrés de violence qui peuvent avoir lieu, voire un drame, nos freins sont en quelque sorte relâchés, à ce moment-là.
c'est ce qui, par la suite donne lieu à des tentatives d'explications du style "c'était un coup de folie", "j'ai perdu la tête", "je n'étais pas moi-même", "je n'arrive pas à comprendre comment j'ai pu en arriver là", etc...
prévention : connaître le mécanisme des rythmes et cycles et savoir que périodiquement nous passons par des épisodes de sensibilité plus grande voire de fragilité. c'est ensuite une question de maîtrise de soi à laquelle il convient de s'exercer en permanence. aussi songer au règlement des préoccupations en temps ordinaire, c'est à dire en dehors des épisodes critiques lors desquels nos problèmes ont tendance à revenir à la surface et nous exacerber.



drames conjugaux et familiaux : toujours graves, ils peuvent décimer des familles, ils ont tendance aussi à arriver en période de fortes pulsions car il faut un ou des éléments "moteurs" suffisamment forts pour en arriver à une extrémité comme celle de tuer les siens...
jours et périodes critiques de nos cycles émotionnels (période critique septennale et jour critique émotionnel surtout) mais aussi parfois jours et périodes critiques physiques, peuvent constituer ces éléments et ils sont de ce fait fréquemment présents lors d'un passage à l'acte dramatique. attention aux périodes entourant les anniversaires, aussi. 
prévention : en connaissant le fonctionnement des rythmes et cycles humains on peut repérer largement à l'avance les jours et périodes à risque. pas facile de prévenir car l'un des problèmes est qu'en cas de crise on a tendance à passer outre et oublier tous nos principes, à être désinhibé aussi (c'est là l'un des éléments les plus dangereux car nous ne mesurons plus nos paroles et nos gestes, nos décisions). une prévention efficace devrait donc se "travailler" à l'avance afin de nous faire adopter un minimum de principes de respect des limites et de non-violence auxquels on ne déroge en aucun cas, quelle que soit la situation. cela devient alors une question de maîtrise de soi que l'on doit acquérir. ceci est d'ailleurs aussi valable pour les disputes et conflits en général. 
attention jours et périodes critiques des deux parties sont à observer dans un couple. risque particulier s'il y a compatibilité çàd que les conjoints ont des jours et périodes critiques en même temps.



enfants :
P1, P6/P7, P12, P18/P19 (ici : http://biorythm.online.fr/w/) sont les jours critiques physiques, P1 (P18/P19 aussi) étant le plus important. possible ces jours-là : fatigué, "malade", insomnie et nervosité.
E1-E8-E15-E22 jours critiques émotionnels, E1 étant le plus important. (notre jour critique émotionnel c'est toujours le jour de la semaine où on est né)
possible ces jours-là : mélancolie, cafard, mauvaise humeur, colère, hyperactivité.
prévention : en cas de questionnement, de problème de comportement ou de dialogue, consulter la situation cyclique du moment peut beaucoup aider à comprendre et souvent se rassurer. prudence dès qu'une discussion risque de s'envenimer. se rappeler une fois pour toutes que le jour critique émotionnel (toujours le jour de la semaine où l'enfant est né) est son jour de possible hyperactivité, blues... ou colère : s'en rappeler le cas échéant permet de gérer en connaissance de cause.



enfant septennal : c'est un enfant né en période critique septennale du ou des parents ; il aura alors toujours ses propres périodes critiques en même temps que son ou ses parents
lors de rapports parents enfants, des problèmes - parfois sérieux - peuvent survenir lors de l'entrée ou du séjour dans les périodes critiques réciproques.
prévention : c'est une situation de compatibilité dont il peut être utile de se rappeler et tenir compte en cas de survenance de tensions ou de situation litigieuses. cela permet de gérer différemment.



enseignement : un élève pourra être... fatigué un jour critique physique, triste ou de fort mauvaise humeur voire agressif un jour critique émotionnel, distrait un jour critique intellectuel. 
un enseignant pourra être fatigué un jour critique physique, triste ou de fort mauvaise humeur voire agressif un jour critique émotionnel, distrait un jour critique intellectuel... il pourra être fatigué lors d'une année critique physique, perturbé voire déprimé et/ou irritable et/ou colérique lors de sa longue période critique septennale...
prévention : connaître chacun ses jours et périodes critiques respectifs permet d'atténuer, éviter, gérer d'éventuels tensions et conflits.



forcené : c'est souvent une personne qui "sort de ses gonds" ou qui "pète les plombs"...
or il y a des épisodes cycliques critiques lors desquels cela peut arriver bien plus facilement qu'à d'autres moments, par exemple l'arrivée d'une période critique septennale ou le séjour dans celle-ci, le jour critique émotionnel (ou les jours à côté) ou encore autour de la période anniversaire, parfois aussi...
prévention : en présence d'une personne "à risque" on peut tenter de tenir compte à l'avance des risques en sachant qu'elle peut être perturbée lorsqu'arrive un élément cyclique comme le jour critique émotionnel ou une période critique septennale (alors durée plus longue) et en sachant que si elle est déjà perturbée elle va pouvoir l'être bien plus encore lorsque lui arrivent les éléments en question qui peuvent avoir un "effet déclencheur". il faut alors éviter les provocations et le cas échéant demander à temps une aide - souvent médicale - extérieure. il est bien sûr utile aussi que la personne en question connaisse le mécanisme des épisodes critiques afin de moins se faire "piéger" jusqu'à "exploser"...


fugue : elles ont tendance à intervenir lors de situations perçues comme étant intenables, de marre et ras-le-bol, de colère, aussi. et cela a tendance à se produire surtout notre jour critique émotionnel qui est notre "jour de colère" et de "la goutte qui fait déborder le vase". la période critique septennale (celle des 14 ans lors de fugues d'adolescents) peut également être en cause.
prévention : se remémorer de "prendre des gants" lorsque quelqu'un se trouve en jour ou période critique, comprendre et surveiller nos éventuelles réactions excessives, car liées à notre situation en épisode sensible. relativiser la "taille" et l'ampleur de nos malheurs car ils sont généralement grossis par notre situation en jour ou période critique, ceux-ci ayant la propriété d'amplifier considérablement notre ressenti et nos émotions, donc aussi nos réactions. 
prudence aussi car en cas de fugues d'enfants ou d'ados, en jour/période critique on peut être plus enclin à des contacts étrangers qui pourraient alors s'avérer à risques (mauvaises rencontres).


harcèlement : plus qu'à un autre moment, il a tendance à survenir en période critique septennale et/ou en jour critique émotionnel de leur auteur. ceci est lié à notre état possiblement colérique, d'insatisfaction, ou de dépression dans ces moments-là. un effet de désinhibition aussi.
il faut également penser à regarder la situation de la personne harcelée : en jour ou période critique on peut se sentir harcelé alors que ce n'est pas forcément le cas.
prévention : le savoir et pouvoir repérer les épisodes à risque doit permettre aux parties, mais surtout au harceleur... de comprendre l'éventuel lien avec sa situation cyclique, et de gérer et assumer.




insomnie : les causes d'insomnies peuvent être nombreuses, mais il en est certaines, naturelles, car liées à notre cycle de l'énergie physique, et que l'on peut repérer facilement à l'avance (ou vérifier le moment venu) : à l'entrée dans nos jours critiques physiques (P1 - P6 et/ou P7 - P12 - P18 et/ou P19). (ici http://biorythm.online.fr/w/  )
prévention : il n'y a pas vraiment de prévention à faire puisqu'il s'agit d'une réaction naturelle de notre organisme qui nous anime environ chaque sixième nuit de notre vie (on ne ressent pas systématiquement tous les jours critiques physiques, mais les insomnies ou mauvais sommeils sont fréquents quand même ces jours-là). il vaut mieux ne pas se forcer à dormir au moyen de somnifères car cela contrecarre un effet naturel de nos cycles qui a certainement son utilité quelque part : d'ailleurs on n'est souvent pas fatigué le lendemain d'une nuit insomniaque de jour critique physique... ou très fatigué (notamment lorsque l'insomnie n'a pas eu lieu) puisque c'est l'une des caractéristiques principales d'un jour critique physique. le savoir aide à compter sereinement les moutons... :-) on peut aussi lire un peu, regarder un bout de film... ou aller faire un tour à l'air frais...
autres nuits de fréquente insomnie naturelle - il est utile d'y penser - ce sont les nuit de pleine lune et de nouvelle lune.


jour critique physique : c'est fréquemment un jour de fatigue, (et pour cela d'accidents, aussi), d'insomnie et de mauvaise forme ou état physique. 
prévention : le savoir peut aider à gérer, et souvent, à rassurer... (il s'agit, selon moi, d'un cycle naturel probablement à impulsions hormonales, et par conséquent on ne peut pas "supprimer" les jours critiques physiques : il peut être utile de consulter si des incidents sérieux ont tendance à se reproduire un jour critique physique car ils sont des "éléments alerte".)
les jours critiques physiques peuvent être repérés  ici : http://biorythm.online.fr/w/
ce sont les jours P1 - P6 et P7 - P12 - P18 et P19 ces deux derniers pouvant parfois affecter sérieusement le moral...  


jour critique émotionnel : parfois ou plus fréquemment selon les personnes,  notre jour de blues, dépression, ou colère, voire "explosion".
prévention : attention à nos réactions et comportements toujours le jour de la semaine où nous sommes né, (s'agissant d'un cycle de l'humeur de 7 jours démarrant à la naissance).
il est donc utile de se rappeler que l'on est né tel jour de la semaine et se rappeler que dès la veille au soir de ce jour on peut être de mauvaise voire très mauvaise humeur, et/ou avoir de gros coups de blues allant parfois jusqu'au désespoir. connaître le mécanisme aide à gérer. (beaucoup de violences, suicides aussi, sont liés à notre jour critique émotionnel donc être particulièrement prudent dans nos réactions et comportements ce jour-là. (ainsi que parfois les jours à côté, jour avant et jour suivant)
pour connaître son jour critique émotionnel : http://biorythm.online.fr/w/
(les jours marqués E1 - E8 - E15 et E22, E1 étant le plus "fort" des quatre).


maladie : j'ai remarqué qu'un certain nombre de maladies ont tendance à "faire irruption" à l'arrivée d'une période critique septennale, ou encore à s'aggraver ou "rechuter" à ce moment là, et je pense de ce fait qu'il existe un lien avec le fonctionnement de nos cycles physiques et psychiques et les périodes critiques de ces cycles... ces périodes ayant l'air d'agir comme une sorte de "révélateur" voire "déclencheur".. je pense qu'il y aurait quelque chose à chercher et découvrir de ce côté-là...






maladie d'un jour : j'ai appelé ainsi le possible mal-être pouvant parfois résulter de la survenance d'un jour critique physique (les jours P1 - P6/P7 - P12 et P18/P19 du cycle de 23 jours des biorythmes ici http://biorythm.online.fr/w/ ) : on peut être "mal fichu" ce jour-là ... et juste ce jour-là. plus rien le lendemain.
prévention : il peut être rassurant de vérifier sa situation cyclique en cas de "mal-être" subit afin de voir s'il correspond à l'un de nos jours critiques physiques. s'agissant de "jours d'alerte" il peut être utile de rechercher une cause éventuelle... (il s'agit quand même du jour où peuvent survenir divers "malaises" donc si sérieux, consulter...), mais ce jour peut aussi constituer un simple "jour de nécessaire ralenti"...





moral : moral à zéro, gros coup de cafard, tristesse, mélancolie... cela peut arriver "naturellement" avec notre jour critique émotionnel... c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés et les coups de blues peuvent arriver dès la veille au soir voire la veille en fin d'après-midi puisque notre jour critique émotionnel "démarre" à ce moment-là. (les jours en E ici : http://biorythm.online.fr/w/   )
prévention : pas de réelle prévention puisqu'il s'agit d'un cycle naturel hebdomadaire de nos humeurs. mais le fait de connaître le mécanisme et l'origine de nos coups de blues (ils peuvent se répéter dans la journée mais aussi être un état continu) va nous aider amplement à assumer... demain çà sera parti. connaître le mécanisme peut parfois aider à le désamorcer... au moins en partie.
on peut en profiter par contre pour réfléchir à nos préoccupations - celles qui ne nous conviennent pas - et essayer de trouver des solutions pour les résoudre. le jour critique émotionnel est en effet une sorte de "jour révélateur de ce qui ne nous plaît pas". je pense que c'est en partie à cela qu'il sert et que c'est donc à nous d'apprendre à en faire bon usage. on peut par contre aussi être déprimé sans aucune raison, ce jour-là...  





mort subite du nourrisson : j'ai constaté qu'elle a tendance à survenir le jour critique physique de bébé, plus qu'un autre jour. http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/10/mort-subite-du-nourrisson.html
prévention : la mort subite du nourrisson étant imprévisible et souvent inexpliquée, aux mesures de précaution préconisées habituellement comme par exemple faire dormir l'enfant sur le dos, j'aurais tendance à rajouter l'observation de ses cycles. le problème est que le jour critique physique apparaît chaque sixième jour de notre vie et que l'on ne peut donc pas s'inquiéter chaque fois.
le jour critique physique étant cependant un jour "coup de pompe" mais à l'inverse aussi fréquemment "jour de pleurs et/ou insomnie" on peut accorder un peu plus d'attention à bébé ce jour-là : il pourra avoir un comportement différent des autres jours.


mort subite des sportifs : elle semble avoir fréquemment un lien avec notre cycle de l'énergie physique de 23 jours et ses "downs" que sont nos jours critiques physiques.
prévention : l'observation de la situation biorythmique devrait pouvoir alerter dans certains cas. un état de fatigue, un coup de pompe, donc un éventuel risque, pourrait être parfois prévenu ou confirmé - incitant alors à la prudence voire à l'ajournement d'une séance de sport. la simple observation des "jours critiques physiques" (ils surviennent avec des degrés d'intensité diverse selon les jours et selon notre état, chaque sixième jour de notre vie).
(jours critiques physiques dans leur ordre d'importance : P1 - P18/P19 - P6/P7 - P12. ils sont calculés ici : http://biorythm.online.fr/w/ )


mauvaise humeur : (voir le mot "colère")




natifs du dimanche : les natifs du dimanche ont la particularité d'avoir leur jour critique émotionnel toujours ce jour-là, définitivement, leur vie durant... cela ne va pas arranger leurs affaires ni souvent celles de leur famille et entourage : le jour critique émotionnel est notre jour de "mauvais poil" ou simplement notre jour "bernard lhermite" ou de blues aussi. chez les natifs du dimanche c'est très gênant car dans nos sociétés le dimanche est le jour de la famille, des sorties, des rencontres, de la vie sociale.
ce peut alors devenir le jour où l'on a envie de rien, mais aussi le jour (hebdomadaire !) des conflits conjugaux par exemple...
les natifs du samedi se trouvent logés un peu à la même enseigne : celle des natifs du week-end.
ce phénomène explique d'ailleurs - à mon avis - un certain nombre de drames arrivant durant nos fins de semaines.
prévention : les personnes concernées doivent tenir compte de ce "handicap" cyclique pour tenter de désamorcer les conséquences d'un jour critique émotionnel du dimanche : on y arrive assez facilement en se surveillant et en "travaillant sur soi". l'entourage doit aussi en tenir compte pour ne pas provoquer inutilement la susceptibilité de l'autre ce jour-là.




pédophilie : les cycles, du fait de leur effet périodique de pulsions/désinhibition ont également une incidence sur les comportements des personnes pédophiles ou à tendances pédophiles. des pulsions sont plus présentes et/ou plus fortes lors de l'arrivée d'une période critique septennale par exemple, ou lors d'un jour critique émotionnel ou certains jours critiques physiques ou intellectuels.
prévention : elle peut surtout se faire au moyen de l'observation et la prise en compte des cycles d'une personne, sachant qu'elle pourra être plus active lors de ses périodes et jours critiques. et comme pour tout risque de récidive on peut par exemple tenir compte des cycles d'une personne lorsqu'il s'agira de la remettre en liberté sous surveillance. il ne sera par exemple pas indiqué de libérer sans précautions une personne à tendance pédophile au moment où celle-ci va entrer dans l'une de ses périodes critiques septennales... tout comme on saura que l'arrivée d'une période critique peut contribuer à "relancer" des comportements pédophiles.




pédophilie septennale : j'ai appelé ainsi cet attrait subit, (parfois même le grand amour !), souvent inattendu et inexpliqué, que peuvent avoir certains hommes pour les enfants à certains moments de leur vie, et qui peut les amener à des gestes et comportements répréhensibles, détruisant parfois des familles...
en, y regardant de près, cela a tendance à arriver au moment de l'entrée dans une période critique septennale et au cours de celle-ci, et je le mets sur le compte de pulsions septennales particulières qui peuvent "activer" des éléments latents. il se produit simultanément un effet de désinhibition ce qui peut être fort risqué. c'est ainsi qu'il arrive des drames impliquant des personnes qui n'ont jamais fait parler d'elles et jusqu'ici ne semblent jamais avoir eu de tendance pédophile. souvent les personnes elles-mêmes ne comprennent pas comment elles ont pu en arriver là.
prévention : une connaissance et prise en compte préalable du mécanisme permet de comprendre ce qui arrive et de gérer les pulsions, pour en quelque sorte "ne pas se faire piéger". l'entourage aussi peut être attentif.



période critique septennale : ce sont nos années de la table de 7 et les années autour. 
selon les personnes elles peuvent donner lieu à des épisodes plus ou moins longs de dépression parfois forte (dépression septennale) voire de désespoir...
prévention : s'en rappeler... et prudence dans nos réactions et comportement. peuvent survenir épisodes de colère et de dépression, dont la forte dépression septennale par exemple. le savoir peut aider à gérer. si épisodes forts et longs - ce qui peut être le cas lors d'une dépression septennale - il peut être utile voire nécessaire de se faire aider. 


problèmes de couples : un grand nombre de séparations ont lieu lors de l'arrivée ou du séjour en période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple (nos âges de la table de sept). pour cette même raison les drames conjugaux et familiaux (voir cette rubrique) ont fréquemment lieu à ce moment-là. cela est lié au fait que l'arrivée dans une période critique septennale peut modifier notre personnalité, momentanément ou définitivement, et cela va "changer la donne". c'est valable à tout âge et la plupart des couples "anciens" qui se séparent après de longues années de vie commune sont également victimes de l'une de leurs périodes critiques.
prévention : connaître le mécanisme permet de voir et gérer les choses de façon différente et de mieux comprendre qui nous arrive ou arrive à l'autre. s'il n'est pas toujours facile ni d'ailleurs indiqué de maintenir à tout prix deux personnes ensemble si elles ne s'entendent plus, une meilleure compréhension de ce qui arrive doit permettre le cas échéant de se séparer plus "en douceur". ainsi l'effet "période critique septennale" peut passer après la période critique et les choses se rétablir - il est important de le savoir,  mais il peut également avoir changé définitivement les personnes et les sentiments. toujours examiner et tenir compte de la situation de chacun des partenaires d'un couple.



psychiatrie : périodes et jours critiques sont des "périodes et jours pulsions". c'est dans ces moments-là qu'il y a le plus de risque de "disjonction" et de récidive.
prévention :  on peut utilement se servir des rythmes et cycles en tenant compte des jours et périodes critiques pour, simplement surveiller, comprendre et gérer au quotidien, mais aussi par exemple ne pas accorder de permissions sans la surveillance adéquate à une personne qui entre ou se trouve dans une période ou un jour critique : ce sont là les périodes et jours des "forcenés" et des drames, par exemple.




pulsions : http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/pulsionsdesinhibition.html
et
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2009/10/pulsations-pulsions.html




rythmes et cycles humains : d'après ma théorie - issue de nombreuses années d'observations - notre vie fonctionne, tout au long, au moyen de pulsations régulières qui accompagnent chacun d'entre nous. ces pulsations ont tendance à influencer nos comportements au moyen de divers mécanismes, notamment un effet de pulsions et de désinhibition pour ce qui est de l'aspect psychique, et une incidence sur l'énergie de notre organisme, pour ce qui est de l'aspect physique.
il s'agit d'un mécanisme endogène, c'est à dire qui se produit à l'intérieur de notre organisme, sans l'influence ou l'apport de quelque chose d'extérieur... le fonctionnement est probablement hormonal et a la curieuse mais efficace particularité d'être lié à une horloge interne très précise... notre vie durant.
(ceci étant souligné parce que l'on compare parfois ma théorie des cycles à de l'astrologie ou de la numérologie avec lesquels elle n'a pas de rapport).
 
l'observation des rythmes et cycles humains permet d'analyser certains comportements ou événements passés, de comprendre le présent et de prévenir et gérer ceux, éventuels, du futur

en pratique il n'est pas nécessaire de faire une fixation permanente sur ses rythmes et cycles.
- si les années critiques importantes des cycles longs sont faciles à repérer et se rappeler, il en est de même pour le jour critique émotionnel qui est notre vie durant le jour de la semaine où nous sommes nés. (celui-ci pourra parfois être en cause lors d'épisodes coups de blues ou mauvaise humeur, par exemple, et s'en rappeler va aider à gérer)
- pour les rythmes courts il reste à repérer surtout les jours critiques de notre forme physique, liés à un rythme de 23 jours (pulsant tous les six jours) nécessitant alors le calcul du nombre de jours depuis la naissance, ce que fait aujourd'hui l'ordinateur.
idem pour les jours critiques du cycle intellectuel de 33 jours (pulsation chaque huitième jour)
et je vois essentiellement deux façons intéressantes de s'en servir :
pour vérifier s'il peut y avoir un lien avec un état particulier que nous ressentons (p. ex. fatigue, insomnie, hyperactivité, pleurs inhabituels de bébé, etc...)
pour repérer à l'avance les jours critiques lorsque l'on envisage un exercice sportif ou une activité nécessitant de préférence notre bonne forme : on pourra alors faire un peu plus attention, réduire, voire reporter une activité.
pour les effets divers possibles voir
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/effets.html
et la situation des cycles au jour le jour est visible ici : http://biorythm.online.fr/w/ 



sécurité : les services de sécurité (je pense à la police et aux personnels pénitentiaires, par exemple) gagneraient à observer les rythmes et cycles (les leurs, mais aussi ceux des personnes dont elles ont à s'occuper).
une personne pourra en effet être fatiguée un jour critique physique, triste ou de fort mauvaise humeur voire agressive un jour critique émotionnel, distraite mais parfois agressive, aussi, un jour critique intellectuel... elle pourra être perturbée voire très déprimée et/ou colérique lors d'une période critique septennale.
prévention : connaître chacun ses jours et périodes critiques respectifs permet d'atténuer, éviter, gérer d'éventuels tensions et conflits.(les éléments cités pouvant être par exemple des éléments "bavure" : leur prise en compte permettrait en principe de les éviter).




séparations : les séparations ont souvent tendance à intervenir lorsque l'un des partenaires d'un couple (ou parfois les deux s'il y a compatibilité dans les périodes critiques) entre ou se trouve dans l'une de ses périodes critiques septennales, c'est à dire autour d'un âge de la table de sept.
il peut se produire alors une sorte de changement de personnalité ou encore une dépression (dépression septennale) qui peut être plus ou moins grave. un partenaire peut devenir méconnaissable voire "exécrable" et il naîtra des différends qui peuvent alors conduire à des mésententes, puis à la séparation d'un couple. les périodes critiques sont aussi des périodes favorisant les aventures extra-conjugales...
prévention : on est déjà aidé lorsque l'on sait (même à l'avance si l'on connaît le principe des cycles psychiques et de leurs périodes critiques) que la période critique septennale peut donner lieu à certains états et comportements qui peuvent nous distancer de l'autre. difficile de parler de prévention lorsque deux personnes subitement ne se reconnaissent plus, si ce n'est de tenter de pratiquer le dialogue et une analyse sereine de la situation - tenant compte entre autre des rythmes de chacun car il ne faut pas oublier que nos épisodes critiques sont entre autre des "révélateurs" à problèmes. c'est l'une de leurs fonctions. après la période critique septennale les choses peuvent s'arranger, mais elles peuvent aussi avoir définitivement scellé une séparation.



sportifs : les sportifs ou les personnes qui pratiquent du sport occasionnellement gagnent à s'intéresser à leur cycle de l'énergie qu'est le cycle des biorythmes de 23 jours. c'est en effet les jours critiques de ce cycle (les jours P1 - P6/P7 - P12 et P18/P19  ici http://biorythm.online.fr/w/ ) que l'énergie de notre organisme est affectée : elle est moindre, voire dans un état de "débrayage".

lorsqu'un champion que l'on attendait échoue de façon inattendue c'est généralement ce jour-là.
prévention : tenir compte de ses jours critiques permet d'éviter les accidents sportifs... (en jour critique physique on est moins performant mais aussi moins "flexible" ou moins adroit...) et de gérer aussi les déceptions suite à un état naturel de moindre énergie durant le temps d'une journée...






suicide : on a tendance à plus se suicider en période critique septennale ou à l'arrivée de celle-ci. (c'est alors un suicide septennal)
on a aussi tendance à plus se suicider son jour critique émotionnel (le jour de la semaine où nous sommes nés) (dès la veille au soir de ce jour, le jour critique émotionnel démarrant déjà la veille au soir) - ou encore le jour à coté du jour critique émotionnel)
cela est dû aux aux possibles états dépressifs et aux pics de pulsions/désinhibition survenant dans ces moments-là.
autres jours pouvant donner lieu à de forts épisodes de dépression : jours critiques physiques P1 et P18/P19, et jour critique intellectuel i 1 et i9. (ils sont indiqués ici : http://biorythm.online.fr/w/   )
la proximité de l'anniversaire, aussi.
prévention : s'imprégner à l'avance du mécanisme permet de comprendre ce qui arrive sachant que ce sont surtout les personnes concernées elles-mêmes qui peuvent agir lorsqu'elles sont désespérées en se rappelant le lien avec leurs cycles et le fait qu'il s'agit d'une situation parfois quasi de "mirage" momentané. il ne faut donc pas se faire piéger par les "sirènes du suicide"... probablement nos hormones.
l'entourage peut bien sûr également réagir, mais parfois les suicidaires ne font rien apparaître de leur désespoir ni de leur intention. ils sont alors les seuls à savoir et à gérer : penser alors à étudier la situation de ses cycles pour mieux comprendre ce qui nous arrive et pourquoi nous sommes "au fond" car il s'agit souvent d'un mécanisme naturel - probablement hormonal -  et passager, de nos humeurs. s'imprégner à l'avance du mécanisme signifie savoir à l'avance et se rappeler le cas échéant que l'on peut sombrer dans de graves dépressions conduisant parfois à des envies suicidaires souvent dans deux situations de notre vie : lorsque nous entrons ou séjournons dans un âge de la table se sept (période longue) ou le jour de la semaine où nous sommes nés (et dès la veille au soir de ce jour)(rythme court hebdomadaire, donc risque fréquent si l'on a des problèmes). se rappeler que ce sont là des cycles psychiques humains naturels.
penser aussi qu'une arme à feu et des munitions accessibles, mais aussi les boîtes de médicaments qui permettent de "partir en douceur" peuvent constituer autant "d'aides voire incitations au suicide"... il est donc important que ces moyens ne soient pas accessibles, car en cas de crise nous pouvons être totalement désinhibés et inverser nos principes.



terrorisme : les terroristes sont fréquemment des "septennaux" c'est à dire des personnes dans ou autour de l'une de leurs périodes critiques septennales. cela est lié au fait que la période critique septennale a la propriété de susciter les vocations, de motiver et mobiliser. et d'éventuelles actions peuvent alors être dramatiquement efficaces en raison d'une part de l'ingéniosité et la détermination développées grâce à la situation en période critique, mais aussi de la désinhibition accompagnant celle-ci...
prévention : surveiller en particulier les "septennaux" (aussi les personnes dans les autres périodes critiques comme l'année P1 (autour de 23/24 ans) et année i1 (autour de 32/33 ans)... et informer des possibles effets sur le psychisme des situations et passages en épisodes critiques.



travail : une personne, (que ce soit un employé ou un supérieur ou patron)  pourra être fatiguée un jour critique physique, triste ou de fort mauvaise humeur voire agressive un jour critique émotionnel (parfois, pour cela, jour de "harcèlement"), distrait un jour critique intellectuel... elle pourra être fatiguée lors d'une année critique physique, perturbée voire déprimée et/ou colérique lors de sa période critique septennale (pour cela fréquemment la période du "harceleur")...
prévention : connaître chacun ses jours et périodes critiques respectifs permet d'atténuer, éviter, gérer d'éventuels tensions et conflits.





trouble bipolaire : s'agissant d'une fluctuation excessive de l’humeur, celle-ci est, de fait, liée à nos "cycles de l'humeur". on peut observer que les fluctuations correspondent fréquemment aux jours et périodes critiques de nos cycles, de sorte que l'on peut mieux les comprendre, prévenir et gérer.
prévention : il s'agit plutôt d'un moyen pour prévoir et comprendre, donc mieux gérer ce qui nous arrive, puisque l'on connait à l'avance les périodes critiques septennales (fréquemment périodes "down" chez les personnes bipolaires) et les jours critique émotionnels (jours "down")
être préparé vaut mieux qu'être surpris...
il peut par exemple être utile de savoir que l'on peut être "naturellement" - en raison de notre situation cyclique - très fatigué un jour critique physique, triste voire très déprimé, ou de fort mauvaise humeur voire agressif un jour critique émotionnel... on peut être longuement fatigué lors d'une année critique physique, perturbé voire déprimé - sombrer dans une grave dépression - être irritable et colérique lors de sa période critique émotionnelle...
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/09/trouble-bipolaire.html



violences conjugales : elles ont tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel car il est notre jour de possible colère et irritabilité, voire de rage, ou aussi en période critique septennale car elle peut être période de dépression et de ce fait parfois de colère et de désespoir, nous pouvons quasiment changer de personnalité, durant notre période critique septennale...
prévention : l'observation des cycles de chacun permet de savoir à l'avance que de la colère, voire de la violence risque d'arriver tel jour (le jour critique émotionnel est hebdomadaire) ou telle période longue (période critique septennale) et il faut alors y prêter grande attention et se maîtriser à ce moment-là... remettre au lendemain une discussion qui risque de tourner à la catastrophe.
en période critique septennale c'est un peu plus délicat car période plus longue... lors de laquelle il faut en quelque sorte s'exercer à la maîtrise de soi...
et il faudrait bien sûr, en "période neutre" c'est à dire en dehors de ces jours et périodes à risque de tensions, essayer de résoudre les problèmes qui ont sont à l'origine... la difficulté étant qu'à ce moment-là ils ne nous préoccupent pas de sorte que l'on a tendance à les oublier ou les mettre de côté...
attention, car un jour ou une période critique va pouvoir se trouver chez une "victime" de violences : en jour ou période critique nous pouvons devenir "maîtres en provocation" et le but sera de faire craquer l'autre... prudence et maîtrise donc, face à une personne en situation critique.


 
(à suivre)